Eric Vernis



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Point. Final ?

Nu, acrylique sur toileLa vie réserve parfois des tours et des tournants curieux et en tout cas, inattendus.

Cela fait dix mois que je me prépare à créer une activité autour du web 2.0 et voilà que soudainement, un opportunité m’engage dans une autre voie.

Ca me tombe comme ça, tout cuit, sans que je m’y attende et sans même l’avoir envisagé une seconde.

Alors, fallait-il renoncer à mon projet ? J’avoue que je n’y ai pas réfléchi trop longtemps tant la proposition était intéressante. Rien à voir avec le web 2, non. Quoi que…

Le web 2 étend son influence et se fait jour après jour plus séduisant, au point de me permettre, étant en concurrence, de rafler la mise. Je n’en suis pas encore revenu.

Toujours est-il que je vais mettre un point final à ce blog. A moins que…

A moins que les circonstances me fasse ouvrir un nouveau chapitre, une saison 2 comme on dit maintenant.

Je n’en continuerai pas moins ma veille 2.0, histoire de ne pas perdre pied, tout va tellement vite. Je vais également poursuivre l’expérience C2B car je me passionne pour les widgets, en espaçant peut-être les articles mais en essayant de garder une certaine régularité.

Ca me fait tout drôle d’écrire ces lignes. J’ai l’impression de quitter un vieux loft chargé de souvenirs et de psychoter au milieu des cartons.

Allez, je laisse la clef sous le paillasson.

Je passerai de temps en temps récupérer le courrier.

Limmoanoo enfin public

logo

J’avais parlé il y a quelque mois d’un mystérieux site buzzé par le blog limmobilierautrement.com. Depuis, limmoanno.com avait ouvert en version privée. J’avais ainsi pu découvrir ses fonctionnalités.

Aujourd’hui, limmoanoo.com est ouvert au public.

Je vous conseille l’article paru dans AccessOweb qui explique dans le détail les services proposés.
Quant-à moi, je m’attacherai plus particulièrement à décrire les principes novateurs de ce site.
Tout d’abord, je précise qu’Hubert, le Directeur et Chef de projet de limmoanno.com est un pote et que j’ai eu l’occasion de discuter avec lui du sujet et de voir les différentes versions alpha.
Je dégagerais donc 5 grands principes :

  1. La géolocalistion : Grâce à Google et Yahoo, c’est un service de plus en plus utilisé dans les nouveaux sites web 2.0. Loin d’être un gadget, c’est un véritable atout, en particulier dans le domaine immobilier. Certes, limmoanno.com n’est pas le seul à proposer ce service. Citons notamment immo-sat.com qui est construit autour de ce service. Ca n’est pas le cas de limmoanno qui met en avant d’autres principes intéressants.
  2. Le mini-site : On a l’habitude de voir des annonces immobilières dont les détails sont bridés par le nombre de caractères disponibles. Les phrases du genre “vds apt 3p 1cuis am. 1balc c cour disp immed. 120000eur a deb.” font souvent perdre un temps précieux aux personnes qui recherchent un bien. Limmoanoo propose lui, de réaliser un véritable mini-site ou plus exactement un mini-blog avec toutes les fonctionnalités qui vont avec : éditeur de texte, photos, commentaires, évaluation etc…
  3. Les Linoos : Limmoanno instaure un système de monnaie parallèle qui permet de traiter les transactions. Le change est 1 linoo = 0,1 euro. Quel est l’intérêt ? Hubert n’étant pas directeur de la banque de france, cela lui permet de maitriser les coûts et les recettes du site mais également de tous les intervenants. Par exemple, il distribue 200 linoos à tous les nouveaux inscrits ce qui leur permet d’avoir 200 visites gratuites sur leur site. Les linnos qui seront donc dépensés uniquement à l’intérieur du site. Allez faire la même chose avec des euros, c’est la banqueroute assurée.
  4. De nouveaux métiers : Les sites d’annonce immobilières classiques ont deux types de visiteurs : les annonceurs et les prospecteurs. Chez Limmoanoo, vous pouvez aussi être envoyés spéciaux ou secrétaires. Les envoyés spéciaux vont visiter les bien pour le compte d’un prospecteur moyennant rétribution en linoos. C’est à mon sens l’un des atouts les plus intéressants du site. Si comme moi vous habitez une région touristique et qu’en plus, vous avez du temps (pas comme moi), vous pouvez proposer vos services à de riches prospecteurs parisiens ou pourquoi pas, londonniens. Voilà un job d’appoint qui peut mettre du beurre dans les épinards. Les secrétaires : Limmoanno vous propose de rédiger des annonces pour le compte d’annonceurs qui n’ont pas le temps ou les capacités pour mettre en valeur leur site d’annonce. Ce service là est également rétribué.
  5. Un réseau social : Limmoanoo se situe résolument dans ce qu’on appelle le “social networking”. Les différents membres du site constituent une véritable communauté. On retrouve d’ailleurs toutes les fonctions du réseau social : Profil sous forme de mini-blog, messages internes, évaluations des membres etc…Vous pouvez ainsi, vous forger une solide réputation d’envoyé spécial ou de secrétaire au sein du réseau. Le réseau social a une importante fonction d’animation du site.

Tous ces principes font que limmoanoo est un site immobilier à très forte valeur ajoutée. Et de nos jours, c’est la valeur ajoutée qui vous fait sortir du lot. Limmoanoo a donc de beaux jours devant lui.

Je ne saurais que trop vous recommander de tester ce site. Et si vous comptez acheter sur la cote catalane, vous me trouverez comme correspondant sur limmoanoo.

De la nécessité de collaborer

accedersLe phénomène blog est avant tout à l’origine, une aventure personnelle. Carnet de voyage, journal intime, cahier de réflexions, quel que soit l’objet du récit, l’auteur recherche une relation de un à plusieurs.
Cette relation peut rester très confidentielle. Mais il se trouve que parfois, le succès arrive et les lecteurs se bousculent au portillon. Du coup, les visiteurs se transforment peu à peu en consommateurs d’information et l’auteur se retrouve pris dans un engrenage insidieux qui l’oblige petit à petit, à fournir du contenu dont la qualité et la quantité soient satisfaisantes.
Le blog risque de devenir alors une contrainte plus qu’un plaisir.
Certains s’accrochent, poussés par une certaine fierté et un vague sentiment que cela pourrait s’accompagner d’un avantage pécuniaire. Beaucoup abandonnent quand ils sentent qu’il perdent pied et que le temps qu’ils passent à bloguer empiète trop sur les autres activités, professionnelles et personnelles.
D’autres, comme moi, font la navette entre ces deux sentiments. Depuis mes déboires avec mon fournisseur d’accès et hébergeur, j’ai supprimé pour ce blog toutes les stats que j’avais (à part le module Mybloglog, j’aime bien de temps en temps, voir la trombine de mes visiteurs…) ce qui déjà, m’enlève une obligation de résultat inconsciente mais finalement trop compulsive.
J’entends bien que Projet W2 reste ce qu’il était à l’origine : un journal de bord me permettant avant tout de laisser une trace consultable de mes réflexions et de mon apprentissage. La tentation de consumériser ce blog (désolé pour le néologisme) ne devrait désormais plus me chatouiller ayant par ailleurs fort à faire avec Close2Blog.

Concernant justement, les blogs proposant du contenu consommable, j’ai le sentiment que l’avenir est à la collaboration. Le lecteur devenant de plus en plus exigeant, les blogueurs les plus en vue vont devoir faire face à une obligation de qualité et de quantité difficilement soutenable, surtout quand on blogue seul dans son coin.
D’ailleurs, les (très) gros comme Techcrunch sont des blogs collaboratifs.

Plusieurs types de collaboration sont possibles : On peut partager la veille, la rédaction, l’animation ou se charger chacun d’une tâche bien précise (je veille, tu rédiges, il anime). Toutes les combinaisons sont possibles. Il est possible également d’ouvrir un espace rédactionnel aux lecteurs eux mêmes, sorte de “courrier des lecteurs” qui les implique d’avantage que de simples commentaires dans un article.

Et puis il y a les blogs pros comme celui de Loïc Le Meur ou par exemple, les blogs de nombreux hommes politiques, qui sont souvent rédigés à plusieurs mains mais qui sont moins dans un rapport collaboratif, avec un “directeur” de rédaction et des rédacteurs (nègres ?… ;-) ).

Une autre piste est celle de la collaboration entre différents blogs. L’expérience originale d’accesOweb qui collabore avec Intruders.tv est en ce sens édifiante et à mon avis réussie. Chacun y trouve son compte tout en gardant ses spécificité. Un échange de bons procédés dans le genre gagnant/gagnant.

Citons également les nombreuses initiatives de blogs associatifs comme The Feedr ou Dessine-moi le Web 2.0
On voit donc que la tendance est à la collaboration. Suivant le vieil adage “l’union fait la force”, on voit bien que la blogosphère se structure et se concentre. La nature est ainsi faite (et ça se vérifie aussi bien en économiquement que socialement) que c’est une nécessité pour survivre, de s’associer, de se regrouper, de se concentrer pour récupérer la plus grosse part du gâteau.

Pour conclure, je citerai encore cet exemple d’Eric Dupin qui, bien qu’ayant acquis un franc succès avec son blog, éprouve l’envie (le besoin ?) de créer un blog asociatif et aussi, d’associer ses lecteurs (donc moi entre autres) à l’élaboration d’un nouveau Presse-citron.

Rentrée des classes

lm

Fini les vacances. Il est temps de reprendre son bâton de pèlerin. Et je m’aperçois que je n’ai pas écrit sur ProjetW2 depuis plus d’un mois. Les bonnes résolutions sont loin. Mais ce n’est pas une raison pour baisser la garde. L’éloignement du Réseau a un coté salutaire. Il permet de prendre du recul et de reformuler les objectifs. Deux choses me sont apparues évidentes :

  • L’activité autour du web 2.0 a un champ de plus en plus vaste. Se vouloir spécialiste en web 2.0 est un leurre. C’est comme se dire spécialiste en médecine ou en droit. Mais peut-on alors, être “généraliste” en W2 et surtout, y a t-il un intérêt professionnel ?
  • Cela m’amène à la seconde évidence :
    L’échéance que je m’étais fixée me parait bien optimiste. Le marché du web 2.0 est, qu’on le veuille ou non, encore confidentiel. Même si tout va très vite, le temps où les entreprises verront un intérêt économique à intégrer les nouveaux concepts du web ne me semble pas encore venu, du moins, dans leur grande majorité.

D’aucun me répondra que c’est justement le moment de se mettre dans la place.

Certes, mais de là à pouvoir générer suffisamment d’activité pour en vivre… Et comment faire une étude de marché quand le marché est inconnu ?
Toutes ces questions, il me faudra les résoudre avant d’envisager de faire le grand saut.

D’ici là, je vais répertorier les sources concernant le domaine juridique du web. C’est bien là que j’en étais non ?

Références

gourouPour clore mon étude des acteurs du web 2.0, j’ai recherché quels étaient les personnalités qui faisaient référence dans le monde du web 2.0, soit par leur contribution à la théorisation du concept, soit par leur participation active à la cause du web 2.0. Nombre d’entre eux sont anglo-saxons. Mais nous avons aussi des pointures en la matière qui s’expriment dans la langue de molière. Citons en donc quelques uns, histoire de pouvoir se plonger de temps en temps sur ce que pensent ces maîtres et ainsi avoir toujours sous la main les références indispensables.

  • A tout seigneur, tout honneur, commençons par Tim O’Reilly, le théoricien en chef du concept 2.0 qui a eu le mérite de poser le premier les bases du web 2.0, terme qu’il n’a pas inventé puisqu’on prête son invention à Dale Dougherty, l’un de ses employés. Vous trouverez une traduction complète de son article fondateur ici.
  • Paul Graham dont les théories sur le web 2.0 donnent un angle un peu différent de la ligne orthodoxe.
  • Guy Kawasaki, le chantre de l’entreprise 2.0. The référence pour quelqu’un qui comme moi, souhaite axer son activité sur les entreprises.
  • Chris Anderson, l’inventeur du concept de “long tail” pour décrire la structure du marché 2.0 et largement adopté par la sphère web.

Voilà pour les anglophones
Coté francophones, on a aussi nos références et notamment :

  • Jean-Michel Billaut, promoteur infatigable du web et de l’internet en général.
  • Fred Cavazza, consultant, qui est l’un des pionniers sur son blog à traiter de web 2.0.
  • Jean-françois Ruiz qui réussit à imposer ses vues sur les réseaux sociaux et la manière de s’en servir.
  • Ouriel Ohayon qui, à travers Techcrunch france, influe sur toute la sphère web française.
  • Michel Leblanc, spécialiste de l’e-business et référence incontournable au Canada.
  • Je ne peux pas terminer cette série sans citer Loïc Lemeur qui, grâce son activité multi-médiatique, est le promoteur en chef de la blogosphère.

Mention speciale à par Larry Page et Sergey Brin, les fondateurs de Google, qui sont les références dans tous les domaines du web 2.0 (management, marketing, modèle économique, ressources humaines, produits et j’en passe…). Qui mieux qu’eux deux, pourraient illustrer LA référence absolue des acteurs du web 2.0.

Petite précision : J’ai cité les références que je connaissais. Je ne prétends pas être un expert en la matière et je suis certain d’être passé à coté de certains grands nom du web, soit par oubli, soit par méconnaissance. Peu importe. Le blog à cela de bien qu’il permet les erreurs et les corrections.

Je vais à présent me pencher sur les problèmes juridiques spécifiques au web. Beurk ! Enfin dans tous les cursus, il y a des matières plus ou moins appréciées. Celle-ci me semble pour le moins rébarbative, d’autant que je pars de zéro. Je vais quand même prendre 2 trois semaines de vacances et laisser Projet W2 en suspens quelques temps. je continuerai néanmoins à poster dans close2blog. Les jeunes pousses demandent un soin constant ;-) .

Lettre à Free.

Quand on est hébergé, on doit respecter certaines règles de communauté afin que chacun puisse profiter en toute quiétude de son abri.
Quand on est hébergeur, on se doit de faire respecter ces règles, quitte parfois, à rappeler ses hôtes à l’ordre.
Cependant, l’hébergeur se doit lui aussi d’honorer les bases de l’hospitalité. Les clients à qui il propose le gite ont droit à un minimum d’égard, quand bien même, ils enfreindraient, parfois sans le savoir, ses fameuses règles de communauté.

On ne met pas un client dehors en pleine nuit sous prétexte qu’il a laissé un peu trop couler le robinet de la salle d’eau.

Monsieur Free, vous voyez certainement de quoi je parle.
J’ai abusé sans doute de votre hospitalité en gardant mes statistiques de fréquentation sur une table sql. Mais en toute bonne foi, je n’y ai pas vu le mal. Etait-ce cependant nécessaire de supprimer cette table et surtout, l’accès à mon blog et cela, sans m’avoir une seule fois rappelé à l’ordre et sans même m’avoir informé de votre action ?

Est-ce ainsi que vous traitez un client de la première heure ?

Projetw2 est resté inaccessible pendant 4 jours. Je n’ai pas réagi de suite, pensant que c’était un problème d’hébergement comme il arrive parfois. Le lendemain, j’ai tenté d’utiliser votre assistance par chat, sans succès. J’ai donc envoyé par mail une demande d’explication. Ce n’est que le surlendemain que j’ai eu ma réponse, lapidaire et menaçante :

“Votre page personnelle a été suspendue pour la/les raisons suivantes:

Nous n’acceptons pas de statistiques/historiques web sur base de données.

Nous avons détruit une de vos tables mysql.

Ce bloquage consitue un avertissement. Afin de retrouver l’accès à
votre page personnelle, vous devez vous engager à corriger les points
cités ci-dessus au plus vite.”

J’ai bien noté que dans votre monde, celui qui enfreint les règles se voit éjecté sans autre forme de procès. Permettez moi de considérer ces méthodes comme particulièrement anti-commerciales et inhospitalières. La gratuité de l’hébergement étant largement compensée par le coût de l’accès, j’estime qu’en tant que client, j’ai droit à un minimum de considération. A mon tour de me montrer menaçant. A la prochaine coupure, je change d’augerge, et je le ferai savoir !

Veuillez agréer…

P.S. : Je prie mes lecteurs de bien vouloir m’excuser pour cette interruption de diffusion indépendante de ma volonté.

Réseaux sociaux professionnels : quelle stratégie adopter

reseauxLinkedin, FaceBook, Ziki, Viadeo, 6nergies, les réseaux sociaux professionnels sont nombreux.

Mon penchant pour tester les applications web 2.0 m’a conduit à tester la plupart d’entre eux, sans vraiment approfondir la question. J’ai laissé des bouts de profils et des liens à droite à gauche et ces bribes d’identité n’ont qu’un intérêt très relatif.

Pourtant, la préparation d’une activité dans le web 2.0 ne va pas sans la maitrise de son image numérique. La dissémination des infos dans plusieurs réseaux n’est sans doute pas la bonne méthode pour obtenir un suivi efficace. D’un autre coté, réduire la diffusion de ses informations à un seul media, c’est se priver de la possibilité d’accroitre sa visibilité et ses contacts mais aussi les fonctionnalités disponibles. En effet, tous les sites n’ont pas exactement les mêmes cibles et n’offrent pas les mêmes fonctions.

Il faut donc, dans un premier temps, savoir quelles sont les informations à mettre en valeur et se poser les bonnes questions (dans le désordre…)

  • Est-ce que je cherche un emploi ?
  • Est-ce que je cherche des clients ?
  • Ai-je besoin de conseils ?
  • Ai-je besoin de partenaires ?
  • Mon image est-elle importante ?
  • Dois-je constituer un groupe ?
  • De quel type de contact ai-je besoin .
  • Mon travail peut ou doit-il être mis en valeur ?
  • De quel type de buzz ai-je besoin .
  • Ai-je besoin de services vidéo ?
  • Dois-je pouvoir entrer avec mes contacts en direct (chat)

etc…

Ensuite seulement, on pourra faire un choix (ou plusieurs).
Une chose est sure, faire l’impasse sur ce type de services est une erreur. Les réseaux sociaux font partie de la panoplie du professionnel du web, au même titre que le blog ou le mashup.

C’est cette démarche que je doit réaliser afin d’avoir un profil cohérent sur le web. Je ne manquerai pas de poster sur le blog, les résultats de cette réflexion.

A lire en particulier cet excellent article de JF Ruiz, spécialiste des réseaux sociaux, Sur la manière d’utiliser la veille sociale.

Acteurs du web 2.0 : Le formateur en jeune premier

oscarL’étude que je mène actuellement sur les acteurs du web, me conduit à m’intéresser à une espèce encore très discrète dans le monde du web 2.0 : Le formateur.

Le web en général et le web 2 en particulier est un domaine qui s’appréhende de manière autodidacte. Pas (ou peu) d’écoles. Des stages, des séminaires et de longues heures de galère sur le web. Le web s’apprend sur le tas.

En se sens, c’est une approche assez artisanale : Le savoir-faire est plus important que le savoir. Les apprentis du web ne deviennent des maitres qu’après un parcours initiatique dignes des compagnons d’antan. Tout se fait de manière pragmatique. J’en veux pour preuve les langages de développement web qui se sont souvent créés et développés en fonction de l’évolution des besoins.

D’ailleurs, il est frappant de constater que les spécialistes du web viennent d’horizons très différents : Informatique classique, marketing ou plus original, avocat ou vétérinaire. Peu de purs produits de l’école du web.

Et c’est là que je veux en venir. Le domaine se structure petit à petit. Les standards se développent, souvent propriétaires mais pas toujours. Le développement des wikis témoigne d’un désir de formaliser et structurer l’activité.

Le web devient suffisamment mûr pour pouvoir être enseigné. L’utilisateur lamda ou le chef d’entreprise curieux ou à la recherche d’efficacité, l’étudiant voulant se lancer dans le web ou l’informaticien voulant se recycler : de nombreux acteurs économiques et sociaux ressentent le besoin d’apprivoiser le web.

Cette évolution peu favoriser l’émergence de formateurs spécialisés dans le web et le web 2.0 en particulier. Les besoins de formation vont sans doute plus se faire de plus en plus insistants et précis, ne serait-ce qu’au niveau de l’utilisation des services web 2.0.
C’est pour cela que je suis convaincu que les formateurs seront de plus en plus, des acteurs importants du web.

Créer son propre réseau social avec Ning

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La mode est aux réseaux sociaux.

Beaucoup d’entre nous sont déjà membres d’un ou plusieurs réseau social. Je pense notamment à Ziki, MyblogLog ou Linkedin. Mais on peut aussi considérer que le fait d’être un lecteur assidu d’un blog particulier, d’y laisser des commentaires, de voter pour un article constitue également une appartenance à un réseau social. Je ne prétends pas avoir constitué avec ce blog un réseau social. Pour celà il faut générer suffisamment de trafic, fédérer des intérêts communs, être suffisamment influent et surtout fidéliser son lectorat. Les lecteurs de Presse-Citron ou encore de Loic Lemeur constituent des réseaux sociaux.

Plutôt que d’adhérer à un réseau social, pourquoi ne pas créer le votre. Il existe un moyen plutôt sympa de créer son propre réseau social : Ning.

Ce site propose tout un panel de fonctions qui vous permettent de fédérer une communauté autour de votre thème favori.

Après s’être enregistré, Ning vous propose de créer votre réseau social, véritable site à part entière avec plusieurs fonctionnalités dont notamment :

  • Une page principale composée de plusieurs modules (présentation, photos de membres, RSS, extrait du forum, calendrier, etc…)
  • Une page perso vous permettant de vous présenter en tant que membre de la communauté
  • Une page présentant tous les membres de la communauté
  • Un blog
  • Un forum
  • Une page regroupant les photos que les membres laissent sur le site
  • La même chose avec les vidéos
  • La même chose avec la musique
  • La possibilité de créer et d’animer des groupes d’intérêts à l’intérieur de la communauté
  • Et, fin du fin, La possibilité de créer et d’ajouter des widgets (tiens tiens, il faudra que j’en parle au webmestre de close2blog ;-) )

Vraiment une utilisation intéressante par exemple, pour animer une association, un club ou une famille nombreuse. D’autres applications sont possibles notamment dans le monde de l’entreprise, pour un CE, un syndicat ou que sais-je encore. Il faudra que je creuse l’idée, ça pourra me servir pour plus tard…

Ning

Bienvenue dans la Machosphère.

Les hommes au boulot, les femmes aux fourneaux.

C’est ce qu’on pourrait conclure de de l’observation des auteurs de blogs les plus lus dans le top blog wikio.

En effet, sur les 30 premiers blogs recensés par wikio (à l’heure ou j’écris le post), seuls 5 sont tenus par des femmes et tenez-vous bien, ils ont tous pour sujet l’art culinaire !

Je n’ai rien bien entendu contre la cuisine, bien au contraire. Mais enfin. La gent féminine a sûrement d’autres sujets de préoccupations que celui-ci. J’ai quand même parcouru la liste de blogs (près de 300 blogs recensés tout de même), il a fallu remonter jusqu’à la 59e place et le blog de Dominique Voynet pour trouver un blog tenu par une femme qui ne soit pas culinaire.
A peine croyable.
Et en descendant jusqu’au bas du classement, on compte moins de 10% de blogs tenus par des femmes.

Pourtant, le nombre de blogueuses n’est pas négligeable. Il n’y a qu’à jeter un oeil sur la rubrique de Presse-citron intitulée “Blogs au féminin” pour s’apercevoir qu’il y a non seulement la quantité, mais aussi, la qualité.

Sitons en particulier (tiré de la rubrique d’Eric) :

  • Vous les hommes“, blog qui nous en apprend un peu sur nous même.
  • Meltingblog“, le blog d’Annie : podcasteuse originelle et rockeuse originale.
  • Memoirevive.org“, une videopodcasteuse qui a une seconde vie.
  • MissTics“, comme son nom l’indique, un blog sur les TICS.
  • Le blog à la ligne“, d’Anne-Lise, une pro du web.
  • Excargot.net” de Marie sur le web-design et ses outils.
  • Zaphir” sur les technologies de l’information.
  • Toutpourelles.fr“, blog organisé comme un réseau d’échange d’expériences (féminines, cela s’entend)
  • Clicland“, le blog d’une professionnelle…du blog.
  • Le blog de Delphine“, un blog très original rempli de dessins “maison”.
  • Webatou“, un blog sur l’accessibilité et les standards
  • Chocapic.junkle.org“, le blog déroutant d’une étudiante en informatique.

Sans oublier le blog de Sophie dont j’ai eu déjà l’occasion de parler.

Et pour faire un tour d’horizon, “blogueuses” qui reprend des articles de blogs féminins.

Tout ça pour dire qu’il n’y a pas que des blogs féminins sur la cuisine, la forme ou la beauté.

La blogosphère n’est pas l’assemblée nationale. Espérons qu’il n’y aura pas besoin de quotas pour qu’elles arrivent au sommet du top blog rapidement.

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