Je vais abandonner mon blog pendant une semaine. Je pars prendre le bon air de la montagne. Là bas, pas de PC, pas d’ADSL ni même l’ombre d’une prise téléphonique. Je suis sûr que quelques jours loin de mon clavier et de mon écran ne pourront pas me faire de mal, bien au contraire. Je vais m’aérer la tête qui commençait à sentir le renfermé.
Dans une semaine, je vais revenir gonflé à bloc. Alors, très bientôt pour la suite des aventures…

Je parlais hier de prendre du recul par rapport à son travail. Ce soir j’essaie de faire un évaluation de l’avancée de mon projet. A l’heure où j’écris ces quelques lignes, l’état est le suivant :

• Cahier des charges bien avancé (environ 80%)
• Modèle de données en cours (environ 60%)
• Modèle des traitements ébauché (environ 20%)
• Maquette entamée (20%)
• Design de l’application avancé (60%)
• Codage nul

Cela représente 10 jours de travail. Finalement, les choses vont assez vite. De temps en temps, je ferai le point de l’avancée des travaux pour suivre ma progression.

Je souhaiterais mener en parrallèle, une évaluation de la qualité mais je ne sais pas trop par quel bout le prendre. Il va falloir que je réfléchisse à la chose…
A demain.

Techniquement, il n’y a pas de contre-indication si l’on possède les compétences nécessaires. Tout dépend alors de certains facteurs comme le temps ou la complexité de la tâche. C’est un peu comme en peinture. Quand Michel-Ange peint une oeuvre, il est seul devant sa toile. Mais quand on lui commande de refaire la voute de la chapelle sixtine, l’artiste se transforme en chef d’orchestre.Rassurez-vous je ne me prend pas pour Michel-ange. Je n’ai pas encore pété une durite. Mais le fait de développer seul m’oblige souvent à poser ma toile et à prendre du recul pour avoir une vue d’ensemble.

No problemo ! J’ai tout mon temps. Pas de délai à tenir. Gros avantage : La recherche de la qualité peut être le critère principal. Et il se peut que ce soit déteminant in fine.

A demain.

Pas de panique, ce n’est pas le lecteur que je cherche à endormir mais mon blog.
En effet, je vais mettre ervesphere en sommeil, le temps de mener à bien plusieurs projets qui me prennent tout mon temps et qui m’empêchent d’animer mon blog de manière régulière.
Comme j’ai horreur de traiter les sujets avec un lance-pierre, ce qui je l’avoue était le cas ces derniers temps, je préfère y mettre le holà (ne pas confondre avec la hola, on n’est pas au stade de france…), et le relancer dès que les journées passeront à 48 heures. Si un homme (ou une femme) politique ajoute cette mesureà son programme, je vote pour lui (elle). A bon entendeur…
Je me réserve néanmoins le droit de poster de temps en temps des articles traitant d’un sujet qui me tient à coeur et pour lequel je milite localement (avec Mister accessOweb) : La promotion du wifi public et gratuit.
Le comité de rédaction d’ervesphere (c’est à dire moi-même) est d’accord à l’unanimité.
Voilà. Essayez de ne pas m’oublier trop vite car moi, je ne vous oublierai pas.
A bientot.
erve.

Tout d’abord, j’ai “oublié” de poster l’article d’hier, ce qui n’est pas trop grave vu que c’est le même que celui d’ervesphere. C’était juste pour relayer le redez-vous pris avec les webbeurs de ma région.

A part ça, vu que je commence une maquette de mon projet, je commence à réfléchir sur le design du futur site. J’aimerai arriver à un cahier des charges complet avec définition des coloris, choix du logo, du design des éléments (boutons, fenetres…). Un gros boulot en perspective mais que je trouve très intéressant. J’ai l’intention de le mener parallelement à la conception théorique du projet, tout d’abord parce que ça en fait partie et en plus, parce que ça me permet de temps en temps, de sortir la tête de mes modèles conceptuels qui sont parfois très rébarbatifs.

A demain.

Bloguer dans son coin, c’est bien. Rencontrer des blogueurs et des mordus du web. C’est mieux.
C’est ce qu’on s’est dit avec Philippe d’accessOweb.
Si vous voulez en savoir plus, allez sur Weblog66.

Bloguer dans son coin, c’est bien. Rencontrer des blogueurs et des mordus du web. C’est mieux.
C’est ce qu’on s’est dit avec Philippe d’accessOweb.
Si vous voulez en savoir plus, allez sur Weblog66.

J’ai fait des recherches assez approfondies pour vérifier si l’idée de mon projet existait déjà quelque part sur la toile. Comme je m’y attendais, je n’ai rien trouvé de comparable. C’est pour moi un soulagement et en même temps une pression supplémentaire. Il faudra que recommence régulièrement ces recherches car dans le web, tout va très vite.

Tout va très vite c’est vrai, mais en même temps, le web exploite une infime partie de l’activité humaine. Si certains domaines sont sursaturés, il existe des contrées gigantesques encore inexplorées. Internet en est encore au far west. 80% des cyber-cow-boys se battent encore en duel sur 20% du territoire.

La petite parcelle sur laquelle je batis mon activité est encore isolée et le terrain est en friche. Mais je ne me fais pas d’illusions. Je vois déjà la fumée des pionniers qui s’approchent. Il faudra mettre les bouchées doubles pour bâtir et fortifier mon domaine avant qu’il ne soit envahi.

Allez, à cheval !

Je ne sais pas comment font les autres développeurs mais la tentation est grande, au début d’un projet, de se mettre devant son clavier et balancer du code pour avoir le plus rapidement possible un résultat concret. C’est a priori le meilleur moyen de se perdre en route et d’obtenir une usine à gaz inexploitable.

Moi qui suis issu de la programmation “classique”, j’ai le problème inverse. J’ai tendance à retarder le plus longtemps possible le moment ou j’obtiendrai un résultat à l’écran. Je noircis des pages de schémas, les tonnes de tables et de tableaux, je fais et refais des dodèles conceptuels de données et de traitement, je peaufine mon cahier des charges.

Néanmoins, il est intéressant de pouvoir se rendre compte assez vite de ce que peut donner une application. Ne serait-ce que pour que le client se rende compte de l’avancée des travaux et qu’il ne désespère pas de voir un jour son application opérationnelle.

En l’occurrence, pour le projet qui m’occupe, le client c’est moi (en attendant que des millions d’internautes se l’arrachent ). Ai-je besoin de savoir à quoi ressemblera mon application. Pas forcément vu que je l’ai dans la tête. Sauf que parfois, la tête me joue des tours (il faudra que je me remette à l’entrainement cérébral de la nintendo DS de mon fils…).

Je vais donc m’atteler à fabriquer une maquette, coquille creuse qui me permettra de visualiser la structure d’ensemble de mon projet. L’avantage avec une application web, c’est qu’il n’y a pas besoin d’acheter un outil de maquettage, un simple éditeur html fera l’affaire (Nvu par exemple, autant le prendre gratuit).

C’est tout pour aujourd’hui. (et ce sera pire demain…)

La mort dans l’âme, je vais devoir délaisser la rédaction de posts sur ervesphere. Je n’ai plus le temps de tester des services web 2.0 et encore moins d’y écrire des articles. Donc, ma décision est prise, je vais suspendre mon blog. J’essaierai de loin en loin d’y poster quelques trucs mais a priori, ce n’est plus ma priorité.

Aujourd’hui par exemple, j’ai passé plus de huit heures sur la conception de mon application. Du coup, j’ai tout juste le temps de rédiger cet article. Mais bon, c’est pour la bonne cause, du moins je l’espère.

A demain