Eric Vernis



Warning: main() [function.main]: php_network_getaddresses: getaddrinfo failed: Name or service not known in /mnt/132/sda/6/f/projetw2/wordpress/wp-content/themes/camel/sidebar.php on line 95

Warning: main(http://www.feedtwister.com/feeds/ef9932a.html) [function.main]: failed to open stream: Success in /mnt/132/sda/6/f/projetw2/wordpress/wp-content/themes/camel/sidebar.php on line 95

Warning: main() [function.include]: Failed opening 'http://www.feedtwister.com/feeds/ef9932a.html' for inclusion (include_path='/mnt/132/sda/6/f/projetw2/include:.:/usr/php4/lib/php') in /mnt/132/sda/6/f/projetw2/wordpress/wp-content/themes/camel/sidebar.php on line 95

Portaneo : Le portail ouvert.

logo_portaneo

Tu peux faire le malin Philippe, avec ton “univers” grâcieusement fourni par netvibes. Ah c’est sûr, quand on est un VIP dans la sphère 2.0, on vous déroule le tapis rouge.
Même pas mal ! Quand on est un nain comme moi, qu’est-ce qu’on fait : on prend un échelle. Et mon échelle à moi, c’est Portaneo.
Portaneo est une page d’accueil personnalisable comme netvibes ou webwag, sauf que portaneo est “open”. Et ça change tout.
Cela vous permet par exemple, de proposer à vos lecteurs, votre propre portail modifiable.
Et voilà ce que ça donne :
portaneo
Avec le lien ad hoc.

Alors Moôosieur Lagane ? On pavoise moins !
Blague à part, Portaneo est certes moins abouti que son illustre concurrent (j’ai rencontré certains bugs à l’installation et au paramétrage, mais rien de bien méchant). Mais son potentiel est énorme. La création de nouveaux modules est apparemment, simple d’utilisation. Je n’ai pas encore eu le temps d’en créer mais je compte enrichir mon portail avec des arrangements persos.

Les sources étant modifiables à souhait, et en particulier les CSS, nul doute qu’il va s’enrichir rapidement. Je ne manquerai pas de vous tenir au courant des futures évolutions.

PS. Merci à Laurent qui m’a fait découvrir cette application

Geni : Le génie de la généalogie

logo_geni

Derrière ce titre un peu “téléphoné” comme dirait Jean-Mimi, se cache un petit bijou d’ergonomie et de simplicité (et je n’emploie pas “bijou” dans le même but que dans l’article précedent , n’est-ce pas monsieur Gates ;-) ).
Je cherchais depuis longtemps un site de généalogie mais parmi la production pléthorique dans ce domaine, je n’avais jamais jusqu’à présent trouvé un site qui me convienne à tel point que j’avais envisagé un temps, d’en réaliser un moi-même. Et bien ça ne sera pas nécessaire tant Geni répond parfaitement à mon cahier des charges.

geni

Petite présentation :

Dès l’accès au site, on peut commencer à remplir son arbre généalogique. J’aime bien le principe qui place la fonction principale avant l’inscription. On est ainsi, directement incité à utiliser l’application. ce n’est qu’au moment où l’on veut sauvegarder son arbre (ou une partie de l’arbre) qu’on donne un mot de passe. Le login est le mail que l’on a déjà saisi dans la racine de son arbre. Simple et efficace.
Quand on se trouve devant la racine de son arbre, Geni vous invite à taper vos nom, prénom et mail. Ensuite, tout est intuitif. Les fonctionnalités sont à la portée d’un enfant de 6 ans. Malgré tout pour les “non-comprenants”, Geni s’est fendu d’une aide en ligne ainsi que d’une aide contextuelle qui montre à quel point les auteurs ont peaufiné leur bébé.
Chaque membre de la famille se retrouve dans des boites, roses pour les filles, bleues pour les garçons. En cliquant sur une boite on fait apparaitre la fiche du membre. On retrouve toutes les caractéristiques et les coordonnées très détaillées de la tata ou du petit frère, photo comprise bien évidemment. Seul oubli (si on veut pinailler) : les généalogistes qui vont rechercher les arrières grands oncles n’ont pas de rubriques pour les informations telles que le numéro d’état civil ou bien de registre de baptème. Sinon le reste des infos est digne d’une enquète des RG (goûts culinaires, livres, sports, études, petit nom, idées politiques, religieuses et j’en passe…).

Pour ajouter un membre, il suffit de cliquer sur les flèches qui entourent la boite du membre associé (flèche du bas pour un descendant, du haut pour un ascendant et de coté pour un conjoint). Le clic sur une flèche crée une nouvelle boite qu’il suffit de compléter.
La navigation dans l’arbre est très bien réalisée. Vous avez votre photo en bas à gauche. Quand vous cliquez dessus, l’arbre se recentre sur votre boite. Des flèches de part et d’autre de la photo vous permettent de faire glisser l’arbre de droite à gauche et de haut en bas. Mais vous pouvez aussi faire bouger votre arbre en approchant le curseur de la souris vers les bords de l’écran. Cerise sur le gateau, Geni dispose d’un slider permettant de zoomer sur l’arbre afin d’avoir une vue d’ensemble ou plus précise. L’animation est parfaite. Flash est vraiment un outil formidable pour qui sait s’en servir.

Quoi dire de plus si ce n’est que l’on peut bien sûr imprimer le résultat et que, web 2.0 oblige, on peut partager son arbre.
Pour les internautes qui souhaitent commencer leur arbre généalogique, ainsi que pour ceux qui veulent voir un exemple de réalisation Flash parfaite, je recommande chaudement ce site. Quant à ceux qui ont déjà un arbre sur un autre site de généalogie, testez Geni, vous changerez sûrement de fournisseur.

Quelqu’un a-t-il testé PopFly ?

logo_popfly
Popfly est le nouveau bijou de Microsoft. Comme tous les bijoux, c’est beau, ça brille, ça en jette mais franchement, ça sert à rien.
Je dis ça parce que je suis en colère.
Comment une boite telle que microsoft peut-elle présenter au public une appli aussi buggée, même en version alpha.

Disons quelques mots malgré tout sur l’application. Popfly est un service qui, quand il fonctionnera, permettra de créer un blog ou un mashup (ou les 2) en un clin d’oeil. Destiné aux non-spécialistes, les services proposés utilisent toutes les ficelles de l’animation et de l’ergonomie 2.0.

Après avoir reçu très rapidement et sans conditions particulières une invitation pour “tester” le service, je me suis donc connecté et j’ai cherché à construire un mashup. J’ai choisi quelques flux pré-sélectionnés puis j’ai tenté de visualiser le résultat.
Et là : Planté. Un message abscons, et plus rien. Je me dis que l’application n’est peut-être pas optimisée pour firefox. Je passe donc sur IE. Pas mieux ou à peine. J’obtiens bien un résultat mais c’est une suite ininterrompue et indigeste de liens les uns à la suite des autre.

Trop c’est trop. Je veux bien que ce soit une version Alpha mais la moindre des choses, c’est qu’on puisse au moins tant bien que mal, aboutir à un résultat.

popfly
Microsoft est un habitué des versions mal fagotées, lancées à la va-vite pour occuper la place. Quand les stratégies marketing prennent le pas sur le bon sens, ça donne PopFly.

Signalons quand-même que le site a été réalisé avec le fameux Silverlight, sensé concurrencer notamment Flash d’Adobe. Espérons que les piètres performances de la réalisation ne sont pas dues à leur plateforme de développement auquel cas, Microsoft a du soucis à se faire.

“Express yourself” nous incite Popfly sur sa page d’accueil. Et bien je m’exprime : Popfly, c’est de la daube.
Voilà, c’était mon billet de mauvaise humeur du jour.

Les mystères du référencement

sixtine.jpg

Quel est le rapport entre “coghead”, “vodpod”, “feed43″ et “crowdspirit” ?

Mis à part le fait que ce sont des représentants du web 2.0, ils ont la particularité d’afficher mon blog “ProjetW2″ en première page, lorsqu’on les recherche sur google. Et ce ne sont que quelques exemples ;-)

Ma question est la suivante : comment peut on expliquer que, en ayant un page rank plus que modeste, peu de liens entrants, pas d’adwords et un trafic digne de celui de l’artère principale de Pyongyang à 3 heures du mat, ces références pointent aussi directement sur mon site.

J’ai eu il y a quelque temps, une discussion avec Philippe Lagane d’accessoweb où il se plaignait d’être très mal référencé sur google. C’est à n’y rien comprendre.

Selon google analytics, les recherches google représentent 33% de mes visites. Ca me parait énorme mais je manque de repères à ce sujet.

Tout ça pour dire que le référencement est pour moi un mystère insondable qui heurte de plein fouet mon esprit rationnel. Je me dis qu’il doit y avoir une raison mais elle est hors de portée de mon entendement. Je suis un agnostique du référencement en quelque sorte :-|

Web 2.0 : Les blogueurs français qui comptent (pour moi…)

pyramide maya
Dans la blogosphère 2.0, nombre sont ceux qui jouent des coudes pour exister. Il existe des centaines de blogs comme le mien qui survivent tant bien que mal et chaque jour, de nouveaux acteurs de la planète 2.0 entrent en jeu.
Actuellement, le phénomène le plus visible de cette compétition impitoyable est la multiplication des “charts” des blogs les plus “influents” ou générant le plus de trafic ou encore accumulant le plus de références etc… Et il faut bien reconnaitre que tous ces palmarès sont trustés par les mêmes blogueurs.
Compétition impitoyable certes mais en même temps, très courtoise. Cela vient surement de ce que les blogueurs 2.0 sont tous des gentlemen. Il est possible également que les principes de référencement basés sur l’échange des liens fait que personne n’a intérêt à se mettre ses confrères à dos. ;-)

Personnellement, moi qui ne joue pas dans la cour des grands, je regarde ce phénomène de manière à la fois amusée et intéressée. Comment trouver le critère le plus objectif possible. Comme on le lit souvent, l’influence d’un blogueur est difficilement quantifiable. J’aurais tendance à me baser sur les recettes générées par la publicité type adsense. Pourquoi ? Et bien pour deux raisons : Tout d’abord les recettes sont directement liées au trafic généré, c’est une évidence. La deuxième raison est que plus on incite les internautes à visiter d’autres sites par l’intermédiaire des liens publicitaires, plus on a d’influence sur eux. En poussant un peu le raisonnement, on peut affirmer que plus on a de publicité sur son site, plus on est influent. Autrement dit, un blog avec un contenu de qualité mais sans pub serait de fait, moins influent qu’un blog dont le contenu serait moins intéressant mais avec des pavés publicitaires dans tous les coins. Le problème, c’est que google ne publiant pas les recettes (c’est la moindre des choses), il est difficile de faire un classement si ce n’est en demandant à chaque blogueur, une estimation de ses recettes. (Après relecture, cette explication me semble un peu fumeuse…)

Malgré tout, j’ai personnellement un avis qualitatif sur les blogs qui comptent (pour moi…). Indépendament des chiffres et à force de me balader sur la toile, je me suis fait mon propre top10 des blogs que je lis le plus. Donc, par ordre de croissance aléatoire je citerais :

Voilà. Certains “grands” noms ne rentrent pas dans mon top10 (peut-être sont ils onzièmes, je ne veux pas me créer d’inimitiés…) mais bon… c’est un classement purement subjectif.
J’ai passé également sous silence les “blogbusters” tels que techcrunch ou mashable que je lis bien entendu mais qui n’ont pas la qualité artisanale des blogs perso que j’ai cité dans mon top10.

Hugg : Un Digg vert.

Dans la série des digg-like, il y en a un que j’ai découvert il y a peu et que j’aime bien : c’est Hugg.

Hugg est un “digg” spécialisé dans les nouvelles vertes. Cela ne veut pas dire qu’elles ne sont pas encore mures ou qu’elles sont recyclables mais tout simplement qu’elles traitent d’écologie et d’environnement. L’intérêt est que Hugg fourmille de trouvailles, de news originales souvent très intéressantes et qu’on ne retrouve pas ailleurs. C’est souvent le reproche qu’on peut faire aux diggs généralistes : On retrouve souvent les mêmes articles d’un fuzz à l’autre scoopeo.

L’avantage d’avoir donc, un digg spécialisé c’est qu’on ne retrouve pas les infos ailleurs. Hugg a l’avantage de ne pas marcher sur les platebandes des Diggs généralistes et c’est ce positionnement qui en fait un site intéressant, du moins pour ceux qui s’intéressent à l’écologie. Quand on parcours Hugg, on n’a pas l’impression de “déjà vu”. C’est le problème des diggs généralistes qui se battent souvent avec des infos vues et revues qui parasitent leur “une”.

A quand un digg de vrais scoops inédits (littéralement : qui n’ont pas été édités ailleurs).
hugg

Nouveau : Votre page d’accueil personalisée sur top10is.com

top10is

Comme vous le savez peut-être déjà, j’ai conçu récemment un site de gestion, réservation et animation de clubs de tennis appelé : Top10is.com

Top10is vient de s’enrichir d’une fonctionnalité très importante. Le site intègre désormais, une page d’accueil personnalisée. Chaque club pourra donc, à partir de la propre page d’accueil, accéder aux services de top10is.

La page d’accueil personnalisée contient notamment :

  • Une bannière à l’effigie du club.
  • Présentation du club
  • Présentation des dirigeants
  • Informations sur les inscriptions
  • Informations sur les installations
  • Un lien de contact sur l’email du club
  • La localisation du club grace au service “google maps”
  • Les actualités diverses que l’on renseigne dans votre module “information” de top10is

D’autres fonctions viendront prochainement compléter cette page d’accueil.

Plus de précisions sur le blog de top10is.com

Exemple de page d’accueil

page_accueil

Pour lancer ce nouveu service, Top10is propose aux nouveaux inscrits jusqu’au 31 mai : votre base d’adhérents transférée gratuitement sur votre site Top10is et l’envoi d’un mail à chaque adhérent pour lui communiquer ses identifiant et code personnels.

Quel avenir pour les applications 2.0 payantes.

goffice

gOFFICE est une suite bureautique online. A cela rien d’original si ce n’est que son utilisation est payante. Pour 1$ par mois, vous accédez à toutes ses fonctionnalités (traitement de texte, tableur, présentation, publication). Certaines options sont intéressantes comme la disponibilité de nombreux modèles, un service de mailing, un fax gratuit (sur les usa), des lettres types etc.

J’aurais aimé pouvoir tester ces différentes applications bureautiques mais j’en resterai à les croire sur parole. Non pas que je soit rat au point de ne pas vouloir me payer leurs services, d’autant que l’on peut arrêter l’abonnement à n’importe quel moment, mais plutôt par principe. Je pense en effet que dans le monde du web 2.0, le modèle payant a une place à part. Et je ne suis pas convaincu que gOFFICE puisse s’imposer face à des concurrents entièrement gratuits.

goffice

Attention, je ne dis pas qu’un modèle économique basé sur un service payant est rédhibitoire. Mais je pense qu’il est réservé à des niches très pointues ou à des services à très forte valeur ajoutée. Par exemple, un accompagnement technique individuel ou encore, une interface personnalisée. Les lettres types et les modèles d’entetes sont-ils suffisants pour justifier le paiement d’un abonnement. J’en doute. Face à des concurrents comme Zoho ou Google Doc & Spreadsheet, gOFFICE aura sans doute du mal à s’imposer.

Apple épinglé par Greenpeace.

Coup de canif dans la réputation “cool” d’Apple.
Greenpeace vient d’attribuer à Apple, le bonnet d’âne en matière de recyclage des “e-waste”. Selon l’association, la Pomme est mal notée sur tous les critères.
Par delà le problème Apple, Greenpeace fait actuellement une campagne de sensibilisation active au traitement des déchets HiTech. Apple est par exemple brocardée dans le petit clip satyrique ci-dessous.

gp1gp2gp3

Pour info et à ma grande surprise, c’est la firme Lenovo (le Dell chinois) qui remporte la palme du meilleur élève. Comme quoi les préjugés, bons ou mauvais, ont la vie dure…

Steeve Jobs, n’a pas été long à réagir et promet une pomme plus verte. Il s’engage notamment “à ne plus utiliser ni retardateurs de flamme bromés, ni PVC d’ici 2008“.
Affaire à suivre…



CogHead : Les services en ligne prennent le pouvoir.

logo

Plus puissant que Smartsheet, plus complet que Skemma, plus souple que Basecamp, voici CogHead, un service de création et de partage d’applications professionnelles. Alimenté par un buzz efficace s’appuyant sur un teasing et une distribution alpha très “private’”, CogHead est accessible au public depuis peu.

Disons le tout de suite, CogHead est surement l’une des applications online les plus abouties que j’ai eu l’occasion de tester. Faisons un tour d’horizon de l’application.

CogHead se présente sans le dire explicitement, comme un système de gestion de bases de données. Le parrallèle peut être fait avec par exemple, Microsoft Access qui permet de créer, à partir de bases de données, des applications d’entreprise.

L’intérêt de CogHead réside dans la souplesse de création. Vous avez la possibilité de créer une application à partir de templates ou bien à partir de rien. Dans ce cas, c’est à vous de déterminer les données et les actions dont vous avez besoin pour constituer votre application.

codhead

Les templates sont nombreux et vous donnent un aperçu intéressant de ce qu’il est possible de faire avec CogHead. Penchons-nous de plus près sur la création d’une application. Malgré le coté très intuitif de l’utilisation de CogHead, il est fortement recommandé de savoir exactement ce que l’on veut et où l’on va pour se lancer dans la création d’une application. Rien n’interdit néanmoins d’utiliser CogHead pour la conception et la modélisation de votre application. CogHead propose d’ailleurs pour l’exemple, un template appellé “Extreme Programming” qui utilise la méthodologie du même nom.
Après avoir nommé votre appli, vous devez créer une ou plusieurs collections. Une collection est en fait une table. Vous avez la possibilité d’importer des données au format CSV. Une fois les collections créées, il vous faut concevoir des vues attachées à une ou plusieurs collections. Ces vues vous permettront par la suite, de traiter vos données. Jusque là, rien que de très classique finalement. Mais là où CogHead surclasse tous ses concurrents, c’est dans l’utilisation des “actions”. En effet, vous allez pouvoir associer à vos collections et à vos vues, des tâches et y appliquer des actions telles que des conditions, des branchements, des affectations de valeur, des boucles etc…

CogHead permet ainsi de concevoir de véritables modèles conceptuels tant au niveau des données que des traitements.

Je suis loin d’avoir fait le tour de l’application. Mais, de que j’ai vu, j’ai pu déjà me rendre compte des formidables possibilités de CogHead. Il existe des tutoriels permettant de maitriser l’application. Je suis tellement séduit par cette application que je vais faire en sorte d’en acquérir la maitrise pour pouvoir m’en servir mais aussi pour pouvoir promouvoir son utilisation dans le cadre de ma future activité.

CogHead marque la prise de pouvoir des applications en ligne. Pour cela ces applications disposent de trois atouts majeurs : La mobilité, le partage et la gratuité. Le seul handicap, d’ordre technologique est en train d’être comblé à vitesse grand V. CogHead qui utilise OpenLaszlo est là pour illustrer la réduction de cet écart technologique. Cela me conforte d’autre part sur les possibilités offertes par openlaszlo que j’étudie actuellement et que j’utiliserai sans doute pour le développement de mes futures applications.

exemple

Creative Commons License