Eric Vernis



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Flickr Related Tag Browser, comme son nom l’indique.

frtb

Voici une manière sympathique de naviguer sur Flickr. Flickr Related Tag Browser est un browser flash, permettant de naviguer dans la gigantesque base de photos de Flickr.
Vous entrez un thème et vous obtenez au centre de la page, un panel de photos correspondant au thème requis. Vous cliquez sur l’une des vignettes du panel et vous avez l’image en 300×300 (à vue de nez…). Vous cliquez sur le lien ad hoc et vous tombez sur la photo dans Flickr.
Autour du panel sont affichées des étiquettes (tags) qui ont un rapport avec le thème central. Ce qui fait qu’il est très difficile d’arrêter la consultation parce qu’un tag en amène un autre et vice et versa. L’animation flash est très réussie. Essayez vous verrez, mais attention à l’addiction. ;)

Jour 22 – Décentralisation

paperboardUn terme à la mode en politique depuis quelques années, la décentralisation est une réalité dans les entreprises. Mais il faut bien se mettre d’accord sur ce terme. La décentralisation doit répondre à un besoin d’efficacité ou de moindre coût. Dans une même entreprise, certaines ressources peuvent ou doivent être décentralisées et d’autres, au contraire, on tout intérêt à être centralisées. Le propos n’est pas de se substituer à la Direction Générale pour déterminer les choix stratégiques mais de proposer, en fonction des choix réalisés, des solutions permettant une décentralisation efficace.

 

Les applications web 2.0 peuvent s’avérer des solutions efficaces en terme de rentabilité. Prenons un exemple : La formation.

 

Un directeur d’une société basée à Paris peut organiser pour ses commerciaux disséminés partout en France (ou dans le monde, pourquoi pas) une formation à l’aide d’un outil comme Vyew. Cette application permet de disposer d’une « salle » de formation complète avec à disposition, un paperboard, une logiciel de présentation, le tout en conférence téléphonique. L’économie de temps et de moyens est évidente.

 

Beaucoup de sociétés en sont encore à faire venir à grand frais, leurs collaborateurs pour leur permettre d’assister à de telles formations. Il n’est pas évident pour un dirigeant de tenter ce genre d’expérience décentralisée. C’est la tâche du consultant en web 2.0 de sensibiliser les décideurs à ces techniques de communication. Ce sera ma tâche, je l’espère, dans quelques mois…

A demain.

 

CrowdSpirit, ou comment se fouler l’esprit…

CrowdSpirit a décidé de pousser l’intelligence collective jusqu’à ses derniers retranchements. Et je dois dire que ça me laisse pantois. Pantois et circonspect. Et sans voix aussi.
Le but est de produire et de commercialiser des artefacts électroniques surgis de la collaboration entre les utilisateurs de CrowdSpirit.

Principe

  • Un inventeur balance sur CrowdSpirit son idée concernant un nouveau concept de produit électronique ou bien, trouve une solution technique à un problème posé par un internaute
  • Les contributeurs participent au développement et à l’affinage du concept et votent pour les meilleures idées
  • Les investisseurs participent au cahier des charges technique avec des industriels. Ils peuvent aussi investir financièrement dans le projet
  • Une fois les premiers prototypes sortis, des testeurs testent et feedbackent leur suggestions pour améliorer le produit.
  • Des ambassadeurs s’occupent de la promotion du produit auprès de revendeurs
  • Des supporteurs sont chargés de prêcher la bonne parole auprès du public.

Et tout ce joli monde faisant partie de CrowdSpirit, vous pouvez être à la fois inventeur, promoteur, investisseur ou que sais-je encore…

Je vous soumets ce schéma très “flower power”, qui permet de faire le tour de l’idée :

Conclusion

Reconnaissons à l’équipe franco-écossaise de CrowdSpirit, le mérite de tenter de réaliser une utopie : Le Crowdsourcing appliqué au cycle de vie d’un produit (électronique en l’occurrence), de l’idée à la commercialisation. L’un des degrès les plus élevés dans l’échelle du web social. Il fallait oser. Moi, franchement, ça m’épate.
Le lancement de ce site est tout récent puisque leur blog le date à aujourd’hui (29/11/06).
Est-ce que le concept va marcher ?
Espérons le car ce genre d’application est en train de dessiner le futur du web. Tout-à-Fait mon cher Igor…
Aïe, je viens de me fouler l’esprit. :-(

Jour 21 - Mobilité, encore…

velosJe suis passé un peu vite, il y a deux jours, sur la mobilité au sein des entreprises de tailles plus importantes. Sans doute parce que l’intérêt est encore plus évident. Il m’apparait néanmoins nécessaire de faire le point sur ce que peut apporter le web 2.0 dans ce domaine.

Les lignes à creuser sont les suivantes :

  • Accès aux bases de données de la maison mère
  • Commandes, factures, devis en ligne
  • agendas centralisés
  • stocks centralises
  • bureau mobile
  • conférences délocalisées
  • etc.

Bien évidemment, la liste est loin d’être exhaustive. Je la complèterai au fur et à mesure. Ce qui apparait, c’est l’importance de l’accès aux ressources centrales et la délocalisation des moyens.

  • Centralisation du matériel
  • Décentralisation de l’immatériel

Par exemple, les stocks sont à Paris, la gestion des stocks se fait depuis Bordeaux, Lyon ou Marseille.

La mobilité au sein des PME est un paramètre stratégique. En faciliter son accès, grâce à des outils web 2.0 doit pouvoir trouver un écho favorable auprès de leurs dirigeants.

Demain je m’attacherai à réfléchir (à haute voix) sur un point que j’ai commencé à aborder aujourd’hui : la décentralisation des ressources de l’entreprise et à la manière dont le web 2.0 peut servir de facilitateur. (oui, je sais j’emploie “web 2.0″ à toutes les sauces. Je pourrais tout aussi bien dire “truc polymorphe” mais c’est plus long à écrire. Il sera bien temps, plus tard, d’étiqueter ce qu’on appelle le “coeur de métier”. :-P )
A demain.

Haut en couleur

Pour les webmasters développeurs en mal d’inspiration ou qui ont un goût de chiottes, Daily Colour Scheme vous permet de réaliser des palettes CSS pour agrémenter vos sites. Comme son nom l’indique, ce site propose chaque jour une palette différente. Un site bien réfléchi doit effectivement obéir à des codes de couleurs en fonction du thème choisi, de l’ambiance voulue ou de l’environnement affiché.
DCS propose de récupérer leurs palettes selon l’outil que vous utilisez (photoshop, illustrator, studio) ou carrément le CSS ou encore le fichier HTML.
Utile.

Jour 20 - Mobile oui, mais autonome aussi.

brika

Tout à mon enthousiasme, j’ai présenté hier la mobilité comme l’alpha et l’oméga du système de gestion de l’information des micro-entreprise. C’était aller un peu vite en besogne, et c’est là que je m’aperçois de l’intérêt de tenir ce blog. Quand je suis revenu sur ce que j’avais écrit, la première chose qui m’a frappé, c’est le manque de discernement dont j’avais fait preuve en pensant que la mobilité était l’intérêt principal du web 2.0. Certes, c’est un argument important. Mais si je me mets à la place d’un « solo » (et j’espère y être un jour), le plus important sans doute dans ce que peut apporter les outils web 2.0, c’est l’autonomie.

Peut-on en effet prétendre à un statut d’indépendant et dépendre de tierces personnes pour tout ce qui concerne les activités annexes. Un comptable, un secrétaire, un standardiste et un responsable des ressources humaines pour s’occuper de tout ce petit monde. OK, cela fait baisser le chômage, mais pour combien de temps si l’activité n’est pas viable.

Qu’apporte alors le web 2.0 au niveau de l’autonomie ?

Des outils de bureautique, de gestion de projet, d’organisation du temps, de communication, de gestion des connaissances etc, qui sont en ligne et qui utilisent une interface riche apportent efficacité et autonomie à son utilisateur. Le consultant interviendra comme prescripteur mais aussi comme formateur pour que l’entrepreneur puisse utiliser ces outils de manière efficace et ainsi, gagner en autonomie.

A demain.

 

Jour 19 - Mobile, on vous dit !

guepardLes progrès apportés par les web 2.0 en terme de mobilité, s’accompagnent des progrès techniques et de la démocratisation des moyens d’information mobiles. Le développement parallèle des métiers mobiles n’est pas une coïncidence. C’est une tendance lourde.

Autre tendance, l’essor des petits entrepreneurs et en particulier, des entreprises unipersonnelles et autres freelances. La plaie des petites structures, c’est justement, tout ce qui n’est pas directement lié à la spécialité et qui fait perdre au petit patron, un temps précieux : facturation, démarchage, devis, lettres de relance, agenda, permanence téléphonique etc… Cela fait perdre du temps, donc de l’argent.

Les nouveaux moyens d’information et notamment les services en ligne arrivent à point nommé pour assister l’entrepreneur. Supportées par les technologies mobiles comme les ordinateurs portables, le wifi, les téléphones mobiles, les terminaux légers (ex le Mylo de sony), les applications web 2.0 vont apporter un gain de temps et d’efficacité certain. C’est dans cette optique que le conseiller en intégration web 2.0 va pouvoir apporter son expertise. La mobilité est des trois axes (Coopération/Mobilité/Moindre coût), celui qui sera le plus convaincant pour les micro-entreprises. C’est un angle auquel je crois beaucoup pour développer mon activité.

Pour que ce mode de gestion des petites entreprises puisse connaitre une forte croissance, cela doit s’accompagner d’une généralisation et d’une gratuité du Wifi. Il y a un travail très important à faire, notamment auprès des collectivités locales, pour qu’elles mettent en place un maillage de leur territoire au niveau de la réception wifi. Certains lieux publics commencent à être équipés. Gageons que cela se généralise dans les années à venir. On en reparlera…

L’imagination au pouvoir !

phatterism

Je suis tombé par hasard sur le site de Luis Santi Jr, un jeune développeur/designer américain d’origine Portoricaine. Tout simplement génial. La technique au service de la créativité. L’imagination est vraiment ce qu’il y a de plus jouissif dans le net (et dans le monde en général). La gallerie photo est particullièrement originale (entre autre). Quant-à la musique, kitch à souhait et inédite sur le oueb, c’est un régal.

Phatterism (c’est le nom du site…je n’ai pas trouvé ce que cela signifie) est le premier d’une nouvelle rubrique nommée “Interfaces” que j’essaierai d’alimenter régulièrement.

Pixilis, un petit poucet sur le créneau photos et vidéos

logo_pixilis

A première vue, Pixilis ressemble à d’autres applications proposant l’archivage et le partage de photos et vidéos. Dur d’exister dans cette spécialité quand on a en face de soi des poids lourds comme YouTube ou Flickr.

pixilis

Présentation

Pixilis a choisi pour se démarquer des mastodontes, une approche plus professionnelle. L’inscription se fait sur liste d’attente (peu longue cependant, mon inscription ayant été validée en 48 heures). Il y a deux types d’inscription. La première, gratuite, permet de se faire une idée du produit. Cette option n’est faite que pour inciter le photographe ou vidéaste amateur (ou pro) à souscrire à la seconde option. Celle-ci, payante (19,95$/an) permet d’avoir un espace de stockage plus important (2Gb, ce qui reste malgré tout faible pour de la vidéo), d’éviter les pubs et surtout, de pouvoir acheter des photos et vidéos et/ou vendre sa propre production. Et c’est là que l’application devient intéressante, notamment pour l’amateur éclairé qui veut se faire un nom sur la place. Celà lui permet d’accéder à une communauté de spécialistes et de faire connaitre ses créations. L’application est intéressante aussi pour tous les producteurs et développeurs de médias, à la recherche de photos originales.

Conclusion

En choisissant dans le vaste domaine de la photo et de la vidéo en ligne, une niche bien spécifique, Pixilis pourra peut-être tirer son épingle du jeu. Mais il lui faudra pour cela, atteindre une taille critique en terme d’utilisateurs et de contenu. Il est pour le moment loin du compte puisqu’il y a moins de 3000 photos partagées et aucune vidéo. Je souhaite quand-même à Pixilis de réussir car l’application est de bonne qualité et surtout, le marché a besoin de concurrents face à YouTube et son propriétaire Google.

Jour 18 – Nuages

nuageLe jour se lève sur la plaine. Je contemple depuis la fenêtre de mon bureau, les bancs de brume et les nuages d’étourneaux qui se déplacent de vignes en vignes.

Et j’en viens, par associations d’idées, à penser aux nuages de tags qui se développent sur la toile. Ce phénomène assez récent (mais tout est récent sur la toile…) a pris une ampleur telle que l’on se demande comment on faisait avant, pour organiser ses références. Je ne sais pas qui a trouvé cette idée mais le génie a été de jouer sur la taille et l’épaisseur des caractères pour mettre en avant les références que l’on retrouve le plus souvent. Du coup, on pourrait imaginer un nuage dont les mots mis en évidence seraient fonction de critères choisis par l’internaute ou déterminés en fonction de ses habitudes de consultations. Une sorte de nuage dynamique, un peu comme les nuages d’étourneaux  qui se déplacent selon un but bien précis : piller le raisin.

Bon, aujourd’hui si j’ai le temps, je vais commencer à réfléchir sur la mobilité apportée par le web 2.0 en entreprise. A demain.

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