Eric Vernis



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Dans la série “mashup des mashups”, Yahoo Pipes.

pipes

pipes2

J’ai parlé il y a quelques temps de Feedtwister, une application permettant de mixer des flux RSS. Et bien dans la série “qui peux le plus, peut le moins”, voici : Yahoo Pipes.

Et je dois dire que Pipes est aux mélangeurs de flux ce que les choeurs de l’armée rouge sont aux chorales (allez savoir pourquoi j’ai pris cette image).

Inspiré des pipes (tuyaux de communication) d’unix qui permettent de brancher la sortie d’une commande à l’entrée d’une autre commande, Yahoo Pipes fait communiquer différents éléments, les combine, les trie, les conditionne pour arriver à un élément unique : le plugin de sortie.

Les éléments que l’on utilise sont très variés. Citons en particulier, le flux RSS, élément principal de pipes. Mais on trouve aussi des données XML, des modules de recherche, des champs de saisie, des boucles, des compteurs, des modules de traduction etc.. La liste des éléments est trop longue pour les exposer ici mais le tout compose une plateforme de développement orientée gestion des flux. On peut aussi combiner plusieurs pipes entre eux (elles ? j’ai un doute sur le genre du mot “pipe”). C’est impressionnant et ça ouvre des horizons en matière applicative.

Maintenant, si vous voulez mixer quelques flux entre eux, des applications comme Feedtwister sont largement suffisantes. Pipes va au delà de la simple intégration RSS. Sa prise en main est rapide et évolutive. On peut construire une “pipe” (sic) simple pour commencer, puis l’étoffer au fur et à mesure de l’apprentissage. L’interface (ajax) est rapide et intuitive. On procède par drag&drop. Le seul risque c’est que, dans l’enthousiasme, on se retouve avec des tuyaux partout et un plan de travail illisible. On dispose d’une aide contextuelle pour comprendre la fonctionnalité de chaque élément.

pipes

On risque de voir se multiplier ce genre de plateforme très spécialisée, accessible à la plupart des utilisateurs dont le métier n’est pas le développement. Et qui dit spécialité dit spécialisation. Il y a des chances que l’on voit rapidement se développer des métiers tels que par exemple “intégrateur de flux” ou encore “développeur de widgets”. Des niches intéressantes pour mon avenir.

Comme l’épreuve de philo du bac s’est déroulée il y a quelque jours, je finirais cet article par une célèbre citation :
” Il ne faut pas croiser les flux, c’est mal ! “ (Bill Murray - Ghostbusters ;-) )

laurent

Jours 147-153 : OpenLaszlo, le coup de foudre.

omDe retour de vacances, je me suis plongé dans un nouveau chantier. OpenLaszlo.

Cette plateforme de développement m’a séduit d’entrée pour plusieurs raisons mais notamment parce que je cherchais depuis un certain temps, un outil me permettant de réaliser des RIA sans pour autant, avoir à manipuler directement Ajax et sans avoir à utiliser cinquante outils différents. Par exemple, j’ai développé top10is.com en utilisant Xajax, scriptaculous, dojo, sans compter l’environnement LAMP qui déjà à lui tout seul est une véritable usine à gaz.

Je recherchais donc, pour la partie interface graphique, un outil cohérent, qui regroupe toutes les facettes d’un développement d’une application riche. J’avais été séduit un temps par Flex d’adobe, proposant une interface de développement géniale mais dont le coût important m’a freiné.

Et puis je suis (re)tombé sur OpenLaszlo qui comme son nom l’indique, est open ce qui est un atout non négligeable et dont le langage, type XML, se rapproche de Flex. J’avais déjà approché cette environnement il y a un quelques temps mais, me semblant assez compliqué à mettre en oeuvre et ayant une communauté encore peu développée, je l’avais rangé avec Ruby on Rails, au rayon des originalités séduisantes certes, mais pas assez “sérieuses” pour y confier le développement d’un site.
En fait, je m’étais trompé.
Après avoir parcouru des démonstrations, visité des sites et lu pas mal de doc sur OL, je me suis donc décidé à étudier ce site en profondeur. Je mentionnerai mes progrès dans ce blog.

Un seul problème, les initiales : et oui… moi c’est plutôt l’OM. (qui ne saute pas n’est pas marsé-yé !) ;-)

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