Eric Vernis



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Point. Final ?

Nu, acrylique sur toileLa vie réserve parfois des tours et des tournants curieux et en tout cas, inattendus.

Cela fait dix mois que je me prépare à créer une activité autour du web 2.0 et voilà que soudainement, un opportunité m’engage dans une autre voie.

Ca me tombe comme ça, tout cuit, sans que je m’y attende et sans même l’avoir envisagé une seconde.

Alors, fallait-il renoncer à mon projet ? J’avoue que je n’y ai pas réfléchi trop longtemps tant la proposition était intéressante. Rien à voir avec le web 2, non. Quoi que…

Le web 2 étend son influence et se fait jour après jour plus séduisant, au point de me permettre, étant en concurrence, de rafler la mise. Je n’en suis pas encore revenu.

Toujours est-il que je vais mettre un point final à ce blog. A moins que…

A moins que les circonstances me fasse ouvrir un nouveau chapitre, une saison 2 comme on dit maintenant.

Je n’en continuerai pas moins ma veille 2.0, histoire de ne pas perdre pied, tout va tellement vite. Je vais également poursuivre l’expérience C2B car je me passionne pour les widgets, en espaçant peut-être les articles mais en essayant de garder une certaine régularité.

Ca me fait tout drôle d’écrire ces lignes. J’ai l’impression de quitter un vieux loft chargé de souvenirs et de psychoter au milieu des cartons.

Allez, je laisse la clef sous le paillasson.

Je passerai de temps en temps récupérer le courrier.

Rentrée des classes

lm

Fini les vacances. Il est temps de reprendre son bâton de pèlerin. Et je m’aperçois que je n’ai pas écrit sur ProjetW2 depuis plus d’un mois. Les bonnes résolutions sont loin. Mais ce n’est pas une raison pour baisser la garde. L’éloignement du Réseau a un coté salutaire. Il permet de prendre du recul et de reformuler les objectifs. Deux choses me sont apparues évidentes :

  • L’activité autour du web 2.0 a un champ de plus en plus vaste. Se vouloir spécialiste en web 2.0 est un leurre. C’est comme se dire spécialiste en médecine ou en droit. Mais peut-on alors, être “généraliste” en W2 et surtout, y a t-il un intérêt professionnel ?
  • Cela m’amène à la seconde évidence :
    L’échéance que je m’étais fixée me parait bien optimiste. Le marché du web 2.0 est, qu’on le veuille ou non, encore confidentiel. Même si tout va très vite, le temps où les entreprises verront un intérêt économique à intégrer les nouveaux concepts du web ne me semble pas encore venu, du moins, dans leur grande majorité.

D’aucun me répondra que c’est justement le moment de se mettre dans la place.

Certes, mais de là à pouvoir générer suffisamment d’activité pour en vivre… Et comment faire une étude de marché quand le marché est inconnu ?
Toutes ces questions, il me faudra les résoudre avant d’envisager de faire le grand saut.

D’ici là, je vais répertorier les sources concernant le domaine juridique du web. C’est bien là que j’en étais non ?

Références

gourouPour clore mon étude des acteurs du web 2.0, j’ai recherché quels étaient les personnalités qui faisaient référence dans le monde du web 2.0, soit par leur contribution à la théorisation du concept, soit par leur participation active à la cause du web 2.0. Nombre d’entre eux sont anglo-saxons. Mais nous avons aussi des pointures en la matière qui s’expriment dans la langue de molière. Citons en donc quelques uns, histoire de pouvoir se plonger de temps en temps sur ce que pensent ces maîtres et ainsi avoir toujours sous la main les références indispensables.

  • A tout seigneur, tout honneur, commençons par Tim O’Reilly, le théoricien en chef du concept 2.0 qui a eu le mérite de poser le premier les bases du web 2.0, terme qu’il n’a pas inventé puisqu’on prête son invention à Dale Dougherty, l’un de ses employés. Vous trouverez une traduction complète de son article fondateur ici.
  • Paul Graham dont les théories sur le web 2.0 donnent un angle un peu différent de la ligne orthodoxe.
  • Guy Kawasaki, le chantre de l’entreprise 2.0. The référence pour quelqu’un qui comme moi, souhaite axer son activité sur les entreprises.
  • Chris Anderson, l’inventeur du concept de “long tail” pour décrire la structure du marché 2.0 et largement adopté par la sphère web.

Voilà pour les anglophones
Coté francophones, on a aussi nos références et notamment :

  • Jean-Michel Billaut, promoteur infatigable du web et de l’internet en général.
  • Fred Cavazza, consultant, qui est l’un des pionniers sur son blog à traiter de web 2.0.
  • Jean-françois Ruiz qui réussit à imposer ses vues sur les réseaux sociaux et la manière de s’en servir.
  • Ouriel Ohayon qui, à travers Techcrunch france, influe sur toute la sphère web française.
  • Michel Leblanc, spécialiste de l’e-business et référence incontournable au Canada.
  • Je ne peux pas terminer cette série sans citer Loïc Lemeur qui, grâce son activité multi-médiatique, est le promoteur en chef de la blogosphère.

Mention speciale à par Larry Page et Sergey Brin, les fondateurs de Google, qui sont les références dans tous les domaines du web 2.0 (management, marketing, modèle économique, ressources humaines, produits et j’en passe…). Qui mieux qu’eux deux, pourraient illustrer LA référence absolue des acteurs du web 2.0.

Petite précision : J’ai cité les références que je connaissais. Je ne prétends pas être un expert en la matière et je suis certain d’être passé à coté de certains grands nom du web, soit par oubli, soit par méconnaissance. Peu importe. Le blog à cela de bien qu’il permet les erreurs et les corrections.

Je vais à présent me pencher sur les problèmes juridiques spécifiques au web. Beurk ! Enfin dans tous les cursus, il y a des matières plus ou moins appréciées. Celle-ci me semble pour le moins rébarbative, d’autant que je pars de zéro. Je vais quand même prendre 2 trois semaines de vacances et laisser Projet W2 en suspens quelques temps. je continuerai néanmoins à poster dans close2blog. Les jeunes pousses demandent un soin constant ;-) .

Lettre à Free.

Quand on est hébergé, on doit respecter certaines règles de communauté afin que chacun puisse profiter en toute quiétude de son abri.
Quand on est hébergeur, on se doit de faire respecter ces règles, quitte parfois, à rappeler ses hôtes à l’ordre.
Cependant, l’hébergeur se doit lui aussi d’honorer les bases de l’hospitalité. Les clients à qui il propose le gite ont droit à un minimum d’égard, quand bien même, ils enfreindraient, parfois sans le savoir, ses fameuses règles de communauté.

On ne met pas un client dehors en pleine nuit sous prétexte qu’il a laissé un peu trop couler le robinet de la salle d’eau.

Monsieur Free, vous voyez certainement de quoi je parle.
J’ai abusé sans doute de votre hospitalité en gardant mes statistiques de fréquentation sur une table sql. Mais en toute bonne foi, je n’y ai pas vu le mal. Etait-ce cependant nécessaire de supprimer cette table et surtout, l’accès à mon blog et cela, sans m’avoir une seule fois rappelé à l’ordre et sans même m’avoir informé de votre action ?

Est-ce ainsi que vous traitez un client de la première heure ?

Projetw2 est resté inaccessible pendant 4 jours. Je n’ai pas réagi de suite, pensant que c’était un problème d’hébergement comme il arrive parfois. Le lendemain, j’ai tenté d’utiliser votre assistance par chat, sans succès. J’ai donc envoyé par mail une demande d’explication. Ce n’est que le surlendemain que j’ai eu ma réponse, lapidaire et menaçante :

“Votre page personnelle a été suspendue pour la/les raisons suivantes:

Nous n’acceptons pas de statistiques/historiques web sur base de données.

Nous avons détruit une de vos tables mysql.

Ce bloquage consitue un avertissement. Afin de retrouver l’accès à
votre page personnelle, vous devez vous engager à corriger les points
cités ci-dessus au plus vite.”

J’ai bien noté que dans votre monde, celui qui enfreint les règles se voit éjecté sans autre forme de procès. Permettez moi de considérer ces méthodes comme particulièrement anti-commerciales et inhospitalières. La gratuité de l’hébergement étant largement compensée par le coût de l’accès, j’estime qu’en tant que client, j’ai droit à un minimum de considération. A mon tour de me montrer menaçant. A la prochaine coupure, je change d’augerge, et je le ferai savoir !

Veuillez agréer…

P.S. : Je prie mes lecteurs de bien vouloir m’excuser pour cette interruption de diffusion indépendante de ma volonté.

Réseaux sociaux professionnels : quelle stratégie adopter

reseauxLinkedin, FaceBook, Ziki, Viadeo, 6nergies, les réseaux sociaux professionnels sont nombreux.

Mon penchant pour tester les applications web 2.0 m’a conduit à tester la plupart d’entre eux, sans vraiment approfondir la question. J’ai laissé des bouts de profils et des liens à droite à gauche et ces bribes d’identité n’ont qu’un intérêt très relatif.

Pourtant, la préparation d’une activité dans le web 2.0 ne va pas sans la maitrise de son image numérique. La dissémination des infos dans plusieurs réseaux n’est sans doute pas la bonne méthode pour obtenir un suivi efficace. D’un autre coté, réduire la diffusion de ses informations à un seul media, c’est se priver de la possibilité d’accroitre sa visibilité et ses contacts mais aussi les fonctionnalités disponibles. En effet, tous les sites n’ont pas exactement les mêmes cibles et n’offrent pas les mêmes fonctions.

Il faut donc, dans un premier temps, savoir quelles sont les informations à mettre en valeur et se poser les bonnes questions (dans le désordre…)

  • Est-ce que je cherche un emploi ?
  • Est-ce que je cherche des clients ?
  • Ai-je besoin de conseils ?
  • Ai-je besoin de partenaires ?
  • Mon image est-elle importante ?
  • Dois-je constituer un groupe ?
  • De quel type de contact ai-je besoin .
  • Mon travail peut ou doit-il être mis en valeur ?
  • De quel type de buzz ai-je besoin .
  • Ai-je besoin de services vidéo ?
  • Dois-je pouvoir entrer avec mes contacts en direct (chat)

etc…

Ensuite seulement, on pourra faire un choix (ou plusieurs).
Une chose est sure, faire l’impasse sur ce type de services est une erreur. Les réseaux sociaux font partie de la panoplie du professionnel du web, au même titre que le blog ou le mashup.

C’est cette démarche que je doit réaliser afin d’avoir un profil cohérent sur le web. Je ne manquerai pas de poster sur le blog, les résultats de cette réflexion.

A lire en particulier cet excellent article de JF Ruiz, spécialiste des réseaux sociaux, Sur la manière d’utiliser la veille sociale.

Acteurs du web 2.0 : Le formateur en jeune premier

oscarL’étude que je mène actuellement sur les acteurs du web, me conduit à m’intéresser à une espèce encore très discrète dans le monde du web 2.0 : Le formateur.

Le web en général et le web 2 en particulier est un domaine qui s’appréhende de manière autodidacte. Pas (ou peu) d’écoles. Des stages, des séminaires et de longues heures de galère sur le web. Le web s’apprend sur le tas.

En se sens, c’est une approche assez artisanale : Le savoir-faire est plus important que le savoir. Les apprentis du web ne deviennent des maitres qu’après un parcours initiatique dignes des compagnons d’antan. Tout se fait de manière pragmatique. J’en veux pour preuve les langages de développement web qui se sont souvent créés et développés en fonction de l’évolution des besoins.

D’ailleurs, il est frappant de constater que les spécialistes du web viennent d’horizons très différents : Informatique classique, marketing ou plus original, avocat ou vétérinaire. Peu de purs produits de l’école du web.

Et c’est là que je veux en venir. Le domaine se structure petit à petit. Les standards se développent, souvent propriétaires mais pas toujours. Le développement des wikis témoigne d’un désir de formaliser et structurer l’activité.

Le web devient suffisamment mûr pour pouvoir être enseigné. L’utilisateur lamda ou le chef d’entreprise curieux ou à la recherche d’efficacité, l’étudiant voulant se lancer dans le web ou l’informaticien voulant se recycler : de nombreux acteurs économiques et sociaux ressentent le besoin d’apprivoiser le web.

Cette évolution peu favoriser l’émergence de formateurs spécialisés dans le web et le web 2.0 en particulier. Les besoins de formation vont sans doute plus se faire de plus en plus insistants et précis, ne serait-ce qu’au niveau de l’utilisation des services web 2.0.
C’est pour cela que je suis convaincu que les formateurs seront de plus en plus, des acteurs importants du web.

Jour 215 : Bilan avant reprise.

chemin

Dépassé les 200 jours, sans même que je m’en rende compte. La question est : ai-je avancé ?
Impression bizarre de voir tout le chemin parcouru mais en même temps, d’avoir la sensation qu’il reste toujours autant à parcourir.

Qu’ai-je appris durant ce temps ou du moins, qu’ai-je retenu ? Beaucoup de choses, même si je dois y mettre de l’ordre.
L’univers du web est tellement vaste que parfois, je regrette de n’être qu’un généraliste et j’envie ceux qui possèdent un savoir ou un savoir faire bien défini : les développeurs flash, les spécialistes en référencement, les designers web, les blogueurs purs et durs. Moi j’effleure leurs domaines, je collecte à droite à gauche, je m’attache, je me détache et je suis sensé compiler ce que j’assimile pour en retirer une certaine cohérence.

Et c’est vrai que, mine de rien, ça fait pas mal de matière. Je ne vais pas ici composer un inventaire à la Prévert pour énumérer ce que j’ai retenu de ces 200 jours. Mais si je devais ne retenir qu’une chose, c’est ma définition du web 2.0 ou plutôt de ce que j’ai appelé les “Nouvelles Pratiques du Web“. Et puis il y a aussi Top10is.com, une application que j’ai développée de A à W, le Y étant le référencement et le Z, la commercialisation deux activités si éloignées et étrangères pour moi. Ce fut néanmoins un excellent exercice et malgré tout, je ne désespère pas de le développer car je pense que c’est un produit qui répond à un réel besoin

Après ce petit bilan, il me faut continuer ma démarche et reprendre ma route là où je l’ai laissée : le point 6.
Allez hop, au boulot :-D

Faire et défaire….

deconstruction

Je m’amuse beaucoup avec ce blog. Le problème est que, à vouloir tester les applications web 2.0 qui me plaisent, j’y passe pas mal de temps et du coup, je laisse de coté la réflexion qui était le fil conducteur de Projet W2. En même temps que l’idée de départ s’éloigne, je me perds un peu dans la production intensive générée chaque jour dans la sphere web.

Je vais donc recentrer Projet W2 vers sa mission originale : le carnet de bord d’un futur acteur des Nouvelles Pratiques du Web.

Pour autant, je n’abandonne pas mon envie et mon plaisir de tester de nouvelles applications web. Néanmoins, l’offre étant particulièrement riche, j’ai l’intention de traiter un domaine plus restreint de la sphère.

A ce sujet, je vous prépare une petite surprise très prochainement. :-D

Web 2.0 : Les blogueurs français qui comptent (pour moi…)

pyramide maya
Dans la blogosphère 2.0, nombre sont ceux qui jouent des coudes pour exister. Il existe des centaines de blogs comme le mien qui survivent tant bien que mal et chaque jour, de nouveaux acteurs de la planète 2.0 entrent en jeu.
Actuellement, le phénomène le plus visible de cette compétition impitoyable est la multiplication des “charts” des blogs les plus “influents” ou générant le plus de trafic ou encore accumulant le plus de références etc… Et il faut bien reconnaitre que tous ces palmarès sont trustés par les mêmes blogueurs.
Compétition impitoyable certes mais en même temps, très courtoise. Cela vient surement de ce que les blogueurs 2.0 sont tous des gentlemen. Il est possible également que les principes de référencement basés sur l’échange des liens fait que personne n’a intérêt à se mettre ses confrères à dos. ;-)

Personnellement, moi qui ne joue pas dans la cour des grands, je regarde ce phénomène de manière à la fois amusée et intéressée. Comment trouver le critère le plus objectif possible. Comme on le lit souvent, l’influence d’un blogueur est difficilement quantifiable. J’aurais tendance à me baser sur les recettes générées par la publicité type adsense. Pourquoi ? Et bien pour deux raisons : Tout d’abord les recettes sont directement liées au trafic généré, c’est une évidence. La deuxième raison est que plus on incite les internautes à visiter d’autres sites par l’intermédiaire des liens publicitaires, plus on a d’influence sur eux. En poussant un peu le raisonnement, on peut affirmer que plus on a de publicité sur son site, plus on est influent. Autrement dit, un blog avec un contenu de qualité mais sans pub serait de fait, moins influent qu’un blog dont le contenu serait moins intéressant mais avec des pavés publicitaires dans tous les coins. Le problème, c’est que google ne publiant pas les recettes (c’est la moindre des choses), il est difficile de faire un classement si ce n’est en demandant à chaque blogueur, une estimation de ses recettes. (Après relecture, cette explication me semble un peu fumeuse…)

Malgré tout, j’ai personnellement un avis qualitatif sur les blogs qui comptent (pour moi…). Indépendament des chiffres et à force de me balader sur la toile, je me suis fait mon propre top10 des blogs que je lis le plus. Donc, par ordre de croissance aléatoire je citerais :

Voilà. Certains “grands” noms ne rentrent pas dans mon top10 (peut-être sont ils onzièmes, je ne veux pas me créer d’inimitiés…) mais bon… c’est un classement purement subjectif.
J’ai passé également sous silence les “blogbusters” tels que techcrunch ou mashable que je lis bien entendu mais qui n’ont pas la qualité artisanale des blogs perso que j’ai cité dans mon top10.

Une corde de plus à mon arc ?

J’ai lu dernièrement dans le techno-blogue à Steph, un article très intéressant sur la fonction d’”Analyste Web” inspiré d’un autre post qui décortique la journée type d’un analyste web.

C’est le genre de job que qui fait partie des nouvelles activités qui tournent autour du web et que j’avais évoqué ici.

analyste web

Je me posais la question de savoir dans quelle mesure, une activité d’analyste web peut s’insérer dans une activité de conseil. Est-il possible de proposer ce genre de service, dans le cadre de missions ponctuelles auprès d’entreprises n’ayant pas assez de moyens pour se payer un analyste web à plein temps.

J’y vois deux problèmes. Le premier est que l’analyse demande une connaissance approfondie du domaine d’activité du client. Le second est que l’analyse doit être accompagnée d’un suivi sur le long terme, ce qui suppose un partenariat durable avec le client sans quoi, le rapport d’analyse serait inefficace.

Cette activité est-elle pour autant réservée aux grands comptes ? Certes non. Simplement, proposer un tel service dans le cadre d’une activité indépendante demande déjà une bonne connaissance du domaine de l’analyse web (on ne s’improvise pas analyste web), des outils performants et une recherche de rentabilité très pointue.

La question est à creuser. J’y reviendrai.

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