Eric Vernis



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Limmoanoo enfin public

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J’avais parlé il y a quelque mois d’un mystérieux site buzzé par le blog limmobilierautrement.com. Depuis, limmoanno.com avait ouvert en version privée. J’avais ainsi pu découvrir ses fonctionnalités.

Aujourd’hui, limmoanoo.com est ouvert au public.

Je vous conseille l’article paru dans AccessOweb qui explique dans le détail les services proposés.
Quant-à moi, je m’attacherai plus particulièrement à décrire les principes novateurs de ce site.
Tout d’abord, je précise qu’Hubert, le Directeur et Chef de projet de limmoanno.com est un pote et que j’ai eu l’occasion de discuter avec lui du sujet et de voir les différentes versions alpha.
Je dégagerais donc 5 grands principes :

  1. La géolocalistion : Grâce à Google et Yahoo, c’est un service de plus en plus utilisé dans les nouveaux sites web 2.0. Loin d’être un gadget, c’est un véritable atout, en particulier dans le domaine immobilier. Certes, limmoanno.com n’est pas le seul à proposer ce service. Citons notamment immo-sat.com qui est construit autour de ce service. Ca n’est pas le cas de limmoanno qui met en avant d’autres principes intéressants.
  2. Le mini-site : On a l’habitude de voir des annonces immobilières dont les détails sont bridés par le nombre de caractères disponibles. Les phrases du genre “vds apt 3p 1cuis am. 1balc c cour disp immed. 120000eur a deb.” font souvent perdre un temps précieux aux personnes qui recherchent un bien. Limmoanoo propose lui, de réaliser un véritable mini-site ou plus exactement un mini-blog avec toutes les fonctionnalités qui vont avec : éditeur de texte, photos, commentaires, évaluation etc…
  3. Les Linoos : Limmoanno instaure un système de monnaie parallèle qui permet de traiter les transactions. Le change est 1 linoo = 0,1 euro. Quel est l’intérêt ? Hubert n’étant pas directeur de la banque de france, cela lui permet de maitriser les coûts et les recettes du site mais également de tous les intervenants. Par exemple, il distribue 200 linoos à tous les nouveaux inscrits ce qui leur permet d’avoir 200 visites gratuites sur leur site. Les linnos qui seront donc dépensés uniquement à l’intérieur du site. Allez faire la même chose avec des euros, c’est la banqueroute assurée.
  4. De nouveaux métiers : Les sites d’annonce immobilières classiques ont deux types de visiteurs : les annonceurs et les prospecteurs. Chez Limmoanoo, vous pouvez aussi être envoyés spéciaux ou secrétaires. Les envoyés spéciaux vont visiter les bien pour le compte d’un prospecteur moyennant rétribution en linoos. C’est à mon sens l’un des atouts les plus intéressants du site. Si comme moi vous habitez une région touristique et qu’en plus, vous avez du temps (pas comme moi), vous pouvez proposer vos services à de riches prospecteurs parisiens ou pourquoi pas, londonniens. Voilà un job d’appoint qui peut mettre du beurre dans les épinards. Les secrétaires : Limmoanno vous propose de rédiger des annonces pour le compte d’annonceurs qui n’ont pas le temps ou les capacités pour mettre en valeur leur site d’annonce. Ce service là est également rétribué.
  5. Un réseau social : Limmoanoo se situe résolument dans ce qu’on appelle le “social networking”. Les différents membres du site constituent une véritable communauté. On retrouve d’ailleurs toutes les fonctions du réseau social : Profil sous forme de mini-blog, messages internes, évaluations des membres etc…Vous pouvez ainsi, vous forger une solide réputation d’envoyé spécial ou de secrétaire au sein du réseau. Le réseau social a une importante fonction d’animation du site.

Tous ces principes font que limmoanoo est un site immobilier à très forte valeur ajoutée. Et de nos jours, c’est la valeur ajoutée qui vous fait sortir du lot. Limmoanoo a donc de beaux jours devant lui.

Je ne saurais que trop vous recommander de tester ce site. Et si vous comptez acheter sur la cote catalane, vous me trouverez comme correspondant sur limmoanoo.

Réseaux sociaux professionnels : quelle stratégie adopter

reseauxLinkedin, FaceBook, Ziki, Viadeo, 6nergies, les réseaux sociaux professionnels sont nombreux.

Mon penchant pour tester les applications web 2.0 m’a conduit à tester la plupart d’entre eux, sans vraiment approfondir la question. J’ai laissé des bouts de profils et des liens à droite à gauche et ces bribes d’identité n’ont qu’un intérêt très relatif.

Pourtant, la préparation d’une activité dans le web 2.0 ne va pas sans la maitrise de son image numérique. La dissémination des infos dans plusieurs réseaux n’est sans doute pas la bonne méthode pour obtenir un suivi efficace. D’un autre coté, réduire la diffusion de ses informations à un seul media, c’est se priver de la possibilité d’accroitre sa visibilité et ses contacts mais aussi les fonctionnalités disponibles. En effet, tous les sites n’ont pas exactement les mêmes cibles et n’offrent pas les mêmes fonctions.

Il faut donc, dans un premier temps, savoir quelles sont les informations à mettre en valeur et se poser les bonnes questions (dans le désordre…)

  • Est-ce que je cherche un emploi ?
  • Est-ce que je cherche des clients ?
  • Ai-je besoin de conseils ?
  • Ai-je besoin de partenaires ?
  • Mon image est-elle importante ?
  • Dois-je constituer un groupe ?
  • De quel type de contact ai-je besoin .
  • Mon travail peut ou doit-il être mis en valeur ?
  • De quel type de buzz ai-je besoin .
  • Ai-je besoin de services vidéo ?
  • Dois-je pouvoir entrer avec mes contacts en direct (chat)

etc…

Ensuite seulement, on pourra faire un choix (ou plusieurs).
Une chose est sure, faire l’impasse sur ce type de services est une erreur. Les réseaux sociaux font partie de la panoplie du professionnel du web, au même titre que le blog ou le mashup.

C’est cette démarche que je doit réaliser afin d’avoir un profil cohérent sur le web. Je ne manquerai pas de poster sur le blog, les résultats de cette réflexion.

A lire en particulier cet excellent article de JF Ruiz, spécialiste des réseaux sociaux, Sur la manière d’utiliser la veille sociale.

Créer son propre réseau social avec Ning

logo_ning

La mode est aux réseaux sociaux.

Beaucoup d’entre nous sont déjà membres d’un ou plusieurs réseau social. Je pense notamment à Ziki, MyblogLog ou Linkedin. Mais on peut aussi considérer que le fait d’être un lecteur assidu d’un blog particulier, d’y laisser des commentaires, de voter pour un article constitue également une appartenance à un réseau social. Je ne prétends pas avoir constitué avec ce blog un réseau social. Pour celà il faut générer suffisamment de trafic, fédérer des intérêts communs, être suffisamment influent et surtout fidéliser son lectorat. Les lecteurs de Presse-Citron ou encore de Loic Lemeur constituent des réseaux sociaux.

Plutôt que d’adhérer à un réseau social, pourquoi ne pas créer le votre. Il existe un moyen plutôt sympa de créer son propre réseau social : Ning.

Ce site propose tout un panel de fonctions qui vous permettent de fédérer une communauté autour de votre thème favori.

Après s’être enregistré, Ning vous propose de créer votre réseau social, véritable site à part entière avec plusieurs fonctionnalités dont notamment :

  • Une page principale composée de plusieurs modules (présentation, photos de membres, RSS, extrait du forum, calendrier, etc…)
  • Une page perso vous permettant de vous présenter en tant que membre de la communauté
  • Une page présentant tous les membres de la communauté
  • Un blog
  • Un forum
  • Une page regroupant les photos que les membres laissent sur le site
  • La même chose avec les vidéos
  • La même chose avec la musique
  • La possibilité de créer et d’animer des groupes d’intérêts à l’intérieur de la communauté
  • Et, fin du fin, La possibilité de créer et d’ajouter des widgets (tiens tiens, il faudra que j’en parle au webmestre de close2blog ;-) )

Vraiment une utilisation intéressante par exemple, pour animer une association, un club ou une famille nombreuse. D’autres applications sont possibles notamment dans le monde de l’entreprise, pour un CE, un syndicat ou que sais-je encore. Il faudra que je creuse l’idée, ça pourra me servir pour plus tard…

Ning

FreeIQ : Le marché du savoir.

Les américains ont le raccourci facile.

En effet. Que les personnes “non-comprenantes” ne se précipitent pas sur ce site. FreeIQ ne propose pas gratuitement des points de quotient intellectuel.
FreeIQ est en fait un site permettant aux personnes ayant un savoir ou un savoir-faire particulier, de proposer gratuitement un aperçu de leur talent sous formes de cours, diaporamas, vidéo, screencast, podcast etc… et bien sûr, aux personnes à la recherche de compétences particulières, de profiter gratuitement des formations exposées.

freeIQ

Mais, allez-vous me dire, quel est l’intérêt pour un expert, d’offrir son savoir en pâture à des internautes toujours avides d’infos “gratos”.
Et bien l’intérêt est de se faire connaitre. Exemple : Je suis un expert en développement de sites Flash (ouh le menteur !) et je cherche à attirer l’attention de particuliers ou d’entreprises à la recherche de mon expertise. Je crée donc un screencast concernant l’élaboration d’une bannière de publicité animée. Après avoir associé les tags flash, animation, bannière et publicité, me voilà dûment répertorié dans la base de FreeIQ. Je dispose ainsi d’un hameçon me permettant d’attirer les utilisateurs intéressés par Flash. Après avoir été subjugués par mon screencast, ils me demandent d’autres leçons que je m’empresse de leur faire payer un prix exorbitant. CQFD.

Les americains ont effectivement le sens du raccourci. Cela leur permet d’avoir une longueur d’avance, en particulier sur le plan de l’intelligence collective ou de l’OSS. (Organisation Sociale du Savoir. J’adore inventer des sigles, rien à voir donc avec OSS117 ;-) )

L’immobilier, bientôt communautaire.


Depuis quelques temps, un mystérieux site introduit par limmobilierautrement.com est dans les starting-blocks.

Mis à part le subtil teasing élaboré par les concepteurs de ce site (et pour lequel je contribue en relayant l’info sur mon blog), le concept est assez révolutionnaire dans un domaine verrouillé par les marchands de biens qui ont pignon sur rue. Quel est l’objectif ?

Et bien, limmobilierautrement.com (appelons le “ia” par commodité, je crois savoir que de toute façon, ce n’est pas le nom définitif) propose aux utilisateurs de devenir eux-mêmes, les “promoteurs” de maisons à vendre. Je n’emploie pas le terme de vendeur sciemment car (si j’ai bien compris) il n’est pas question de vendre un bien (ce qui est tout de même assez règlementé) mais bien d’en faire la publicité en élaborant une sorte de mini-site consacré au bien à vendre et dont l’utilisateur tirera des revenus en fonction du nombre de visites sur sa page.

- Ah ! Je vois déjà des yeux s’illuminer et des coins de cervelles faire “tilt”.
- Bon sang mais c’est bien sûr ! Une boutique Zlio appliquée à l’immo.
- Comment n’y avait-on pas pensé avant.

Mais allez vous me dire, qu’est-ce qui empêche un escroc, de faire la promotion de biens immobiliers fictifs ?
Et bien le marché devrait se réguler par un principe de notation des membres qui proposent des biens, un peu comme le système d’Ebay. De plus, je présume que les animateurs du site veilleront à ne rétribuer que les membres “sérieux”.
Le site n’exclue pas les agents immobiliers qui pourront eux-même créer à travers ia, leur propre réseau social immobilier.

A mon avis, les concepteurs d’ia ont entre leurs mains une véritable “bombe” qui va assurément faire du bruit dans le milieu immobilier et au-delà.
En tout cas, moi je crois beaucoup au concept. Et je vous tiendrai régulièrement au courant de l’avancement du projet. Je vous invite également à suivre leur actualité sur leur blog.

Copaing.net : un “copains d’avant” de maintenant.

logo

Si il est incontestable que le site “Copains d’Avant” est le number one des sites pour quarantenaires nostalgiques en mal de repères et de racines et qui cherchent à renouer le contact avec ses ex ou ses potes perdus, catégorie dont je fais partie sans pour autant avoir cédé à la tentation de m’inscrire, il existe une alternative plus fun, plus free et plus hype donc plus web 2.0 que “CdA”, j’ai nommé Copaing.net, le site gratuit de recherche de ses anciens copaings. (ça y est, je crois que j’ai battu mon record de phrase la plus longue ;-) )

copaing

Alors évidemment, Copaing est pour l’instant assez pauvre en copains (à l’heure où je vous parle, un poil moins de 2000 membres). L’intérêt d’un tel site, c’est d’avoir un maximum d’adhérents. C’est sûr que comparé à CdA, fort de ses 4 millions de membres (2 millions selon les RG…), copaing fait figure de moustique. (CdA qui, soit dit en passant a été phagocité par “L’Internaute”, logique de concentration et de taille critique garantie de pérennité mais peut-on exister autrement, c’est un autre débat….)

Néanmoins selon moi, ce site gagne à être connu et cela pour plusieurs raisons :

  • Je suis contre les monopôles.
  • Il est très bien fait et très simple à utiliser
  • L’esthétique sobre et “classe” est beaucoup plus tendance que celle de CdA
  • Il propose des options telles que la géo-localisation sur google maps ou encore plusieurs widgets à installer dans votre blog.
  • Il est entièrement gratuit contrairement à CdA qui vous demande de vous abonner moyennant pépettes, dès que vous tentez d’accéder aux coordonnées de vos contacts.
  • Il intègre des effets sympathiques (slides, fades) ainsi qu’un diaporama des photos très réussi.
  • Il est réalisé et propulsé par une bande de “copaings” (Xuxu, Thanh…) qui bougent dans la sphère web 2.0

Reste à savoir sa capacité à exister et à résister au rouleau compresseur CdA. C’est dans cette optique que je parle de Copaings et que j’incite mes lecteurs à connaitre et à faire connaitre ce site, pour qu’il puisse se faire une place au soleil. Je me suis moi-même inscrit et je vais essayer de me construire une communauté de copaings.
J’en reparlerai pour vous faire part de l’évolution de ma sphère et qui sait, peut-être mettrai-je bientôt un widget de mes copaings sur mon blog :-)

Chesspark : une certaine idée des échecs.

chesspark

Un parc. Dans un coin, des tables et des hommes souvent agés, attablés face à face, concentrés sur leur échiquier. J’ai toujours trouvé ce genre de scène très poétique et surtout, particulièrement reposant.
Chesspark s’est inspiré de ces rencontres bucoliques pour nous proposer un site 2.0 sur les échecs.

chesspark.jpg

Que peut-on faire avec Chesspark ? Et bien, à part jouer aux échecs, pas grand chose, et c’est bien le but. Tout tourne autour des 64 cases. On se réunit autour de “rooms” pour chater, on assiste à des parties, on commente, on recherche de nouveaux partenaires, tout ça dans un esprit très “2.0″.

On a également la possibilité de jouer contre deux automates : Robo Pawn pour les débutant (1063 points) et Robo Knight pour les plus chevronnés (1307 points). Vous pouvez donc vous entrainer sans craindre le ridicule, avant d’affronter des adversaires en chair et en os. J’ai joué hier; une partie avec Robo Pawn, inachevée par manque de temps. J’ai voulu reprendre la partie puisque cette option est proposée mais apparemment, le site à du mal encore à retrouver ses petits car il s’est arrêté sur “searching, please wait…”. J’attends toujours ;-) D’une manière générale, le système a du mal avec les recherches. J’ai essayé de trouver une partie en cours à regarder mais je tombe toujours sur le message d’attente. En revanche, le chat est bien pratique pour trouver un adversaire “à la volée”. Au moment où je suis connecté, plus de 62 participant sont présent dans le chatroom de “central park” (oui, il y a plusieurs chatrooms).

Tous les participants sont ratisés (pardon pour l’anglicisme :-O ), c’est à dire qu’on leur attribue un certain nombre de points en fonction des parties gagnées ou perdu. Je n’ai pas réussi à savoir si cela correspondait aux fameux points ELO avec lesquels on classe les compétiteurs.

Chesspark nous donne aussi la possibilité de s’affranchir du navigateur en téléchargeant un module

On peut se poser la question de savoir ce que peut apporter Chesspark par rapport à la multitude de sites de jeux en ligne. Je dirais que le monde des échecs a toujours aimé cultiver un certain élitisme ainsi qu’un certain “art” de vivre. Chesspark s’inscrit dans cette philosophie. Son esthétisme élégant, l’ergonomie de son échiquier, son coté “private” acentué par l’adresse mail qui vous est donné à l’inscription (erve@chesspark.com) font de ce site, un must pour les passionnés d’échecs. Bon, vous le savez peut-être, moi c’est plutôt le tennis mais je ne rechigne pas de temps en temps à faire une partie d’échecs, avec un bon cognac et un long cigare. (quel snob !).

Allez, qui viendra me défier sur Chesspark :-D

Koonji - Un “how to” universel

koonji

Comment faire un frontside 360 en snowboard, comment devenir un supporter des Giants de New York, comment réussir un café turc, comment protéger son argent en cas de crack boursier. C’est à ce genre de questions que Koonji se propose de répondre.
Pour chaque question, vous pouvez proposer vos propres contributions ou bien créer un lien vers des sites qui y répondent déjà.
Les chemins qui mènent à ce que vous recherchez sont multiples : champ de saisie, tags, dernières contributions, recherche par contributeur etc…
Mais ne nous y trompons pas, le site vaut plus par un cheminement au hasard que par une recherche précise. En effet, si vous recherchez comment apprivoiser un hanneton, il y a toutes les chances que votre recherche reste infructueuse, tout du moins tant que la base de connaissances n’est pas plus étoffée. En attendant, c’est assez sympa de surfer parmi les contributions et de glaner ainsi des informations qui un jour peut-être, pourront vous servir.
Sinon, on retrouve les principes qui prévallent dans tout site web 2.0 qui se respecte : collaboration, convivialité, système d’évaluation des réponses.
L’originalité tient surtout par un système ingénieux de toolbar qui permet de clipper les infos que l’on trouve en surfant sur le net et de les raccorder à un “how to” de koonji. Un bon moyen de remplir la base de connaissances rapidement.
Ici pas de création, pas de projet collaboratif, pas de manifestation d’une quelconque intelligence collective. Simplement, un catalogue de trucs et astuces sans prétention mais qui a l’avantage d’être récréatif et parfois, instructif.

koonji


Voilà pour ce site. Ca me fait penser que je vais aller faire un tour sur CrowdSpirit pour voir si ce site novateur a trouvé son public.

dzone : le digg des développeurs

dzone

Vous recherchez des articles ou des dossiers sur Ajax, Flex, RoR, Javascript, PHP ou tout autre API, langage, ToolKit etc…dzone est fait pour vous. C’est une véritable mine d’informations, souvent très pointues, d’autant que les articles sont en anglais.
L’intérêt, comme tout digg-like qui se respecte, c’est surtout de trouver le scoop ou le dernier plugin qui tue.
Vous pouvez aussi trouver des tutoriels ou des snapshots de nouveaux produits. J’ai par exemple déniché un scriptaculous Quick Reference très simple, complet et bien illustré.
Du coup, J’ai illico récupéré son fil RSS dans mon onglet netvibes consacré au développement.
Des heures de lecture en perspective… ( + 2 aspros ;-) )

dzone

Je viens de m’apercevoir que Philippe d’accessOweb avait déjà signalé son existence sur son site en octobre mais ce post m’avait échappé.

Zopa : Le crédit 2.0

zopa

Je voudrais vous parler aujourd’hui de Zopa, un site qui présage d’une nouvelle pratique en matière de crédit : Le peer to peer.
Et oui, au même titre que l’on peut échanger des flux immatériels tels que de la musique ou n’importe quelle donnée informatique, il est possible d’échanger de l’argent. Voyons comment…

zopa

Le principe

Zopa est un système révolutionnaire qui permet à un internaute de devenir l’usurier virtuel d’un autre internaute et cela, quels que soient ses moyens, son lieu de domiciliation ou la devise qu’il utilise. Ils appellent ce principe, le pret social. Cela se passe ainsi :

  • Zopa vérifie la solvabilité de l’emprunteur, selon un barème de A*-, A-, B- or C-.
  • Les preteurs font une offre de taux et de durée
  • Les emprunteurs évaluent les taux qui leurs sont offerts et si cela ne leur convient pas, ils peuvent revenir demain pour voir si les choses ont changé.
  • Pour réduire les risques, les prêteurs de Zopa prêtent seulement de petites sommes à différents emprunteurs. Par exemple une prêt de £500 ou plus serai réparti parmi au moins 50 emprunteurs.
  • Les emprunteurs reçoivent un vrai contrat impliquant plusieurs prêteurs.
  • Les emprunteurs remboursent la somme mensuelle par débit direct. Si des remboursements sont manqués, une agence de recouvrement emploie le même processus de rétablissement que pour une banque classique.
  • Zopa gagne l’argent en taxant les emprunteurs de 0.5% d’honoraire et des prêteurs d’une prestation de publicité de 0.5%.

Alors légal ou pas ?

Mais, allez-vous me dire, tout cela ne semble pas très légal. Effectivement, la loi française interdit d’usure privée.
Premièrement, ce site est anglais, pays dont la législation en matière de prêts est différente de la notre.
Deuxièmement, il existe pour l’instant un vide juridique pour ce genre de pratique. Car il ne s’agit pas de preter de l’argent de particulier à particulier mais de particulier à un conglomérat de particuliers, mettant à disposition une certaine somme qui elle-même, sera disséminée sur différents prets.

Le credo de Zopa est que tout le monde s’y retrouve. Les preteurs ont un rendement intéressant, les emprunteurs ont des taux très compétitifs. Et tout cela grace à la suppression de l’intermédiaire le plus gourmand : la banque.

Conclusion

Il est vrai que l’on peut être réticent à l’idée d’utiliser les services de Zopa. Mais c’était la même chose au début de l’e-commerce. On peut mesurer maintenant, à l’approche de noël, le boom des achats en ligne.
Zopa est l’un de ces sites qui sont en train de révolutionner non pas le web mais la vraie vie réelle. Et nous avons la chance d’en être les témoins. Ces pratiques d’avant-garde ont la particularité de mettre en avant le coté social (au sens égalitariste) et universel (au sens universaliste) du web. Imaginez un artisant tibétain pouvant, grâce à ce système, emprunter à des canadiens la somme lui permettant d’ouvrir sa fabrique. C’est tout simplement génial.
Le web social est pour moi, un véritable acteur à part entière du progrès social. Et l’on n’a pas fini d’être épaté. :-D

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