Eric Vernis



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Bonne année 2.0.07

web2.0.07

Je vous souhaite une bonne et heureuse année 2.0 version 07.

Gageons que l’année qui vient verra la déferlante 2.0 envahir le oueb et remiser le 1.0 au musée des vieilleries d’internet.

Personnellement, 2007 devrait voir ma situation professionnelle évoluer vers la sphère 2.0. (j’en fais le voeu en tout cas)
Quant aux internautes qui suivent mon blog, je leur souhaite tout le bonheur et la réussite qu’ils méritent, tant sur le plan personnel que professionnel.

A l’année prochaine. :-D

Jours 52/53/54 - Relache

Rendez vous l’année prochaine, le 2 janvier.

Bonne année !

champagne

Créer un favicon en moins de 10 secondes…ou en 10 heures !

favicon creator

Kgreene propose deux produits en ligne pour créer des favicons
Un éditeur pour créér soi-même, pixel par pixel, une icône auquel cas, il vous faudra une bonne dizaine d’heures
Un créateur automatique à partir d’une image ou d’une photo (format jpg, png, gif, bmp, ico). Avec cette option, il ne vous faudra pas plus de 10 secondes pour avoir votre favicon. Vous avez le choix entre 4 tailles : 16×16, 24×24, 32×32 et 48×48. Vous pouvez aussi, une fois l’image chargée, la retoucher pour un meilleur rendu.
Et le résultat est plutôt pas mal. Jugez-en le résultat ci-dessous à partir d’une photo, ce qui est le plus difficile à rendre. (Sur la dernière, j’ai retouché la bande droite)

icone1icone2icone3icone4

Jour 51 - Google comme prétexte d’une méthodologie

googleTout d’abord je tiens à préciser que mon propos n’est pas de faire une expertise de Google, je n’en suis pas un spécialiste. Ce billet est juste là pour marquer mon cheminement d’une pierre blanche (un milestone comme on dit chez basecamp) afin plus tard, d’avoir quelques repères.
Qu’est-ce que je sais sur Google. Pas grand chose : je suis un utilisateur lambda de quelques fonctions comme adsense ou analytics. J’utilise son moteur de recherche comme tout un chacun.
Concernant ses méthodes de référencement, je dois dire que tout cela est pour moi, très abscons. Des sites tels que webrankinfo sont très bien documentés. Je ne vais donc pas chercher à réinventer la roue. L’important pour moi, n’est pas d’acquérir une expertise sur google mais de savoir où je peux trouver l’information dont j’ai besoin.
La phrase précédente parait anodine mais en fait, elle illustre pour moi le principe méthodologique que j’adopterai pour ma future activité.
L’activité à laquelle je me consacrerai est une activité non pas de spécialiste mais de généraliste. Elle implique de connaitre tous les sujets du domaine mais surtout de savoir où trouver l’information.
Cela demande un esprit de synthèse, un sérieux sens de l’organisation et un bon moral car on travaille sur une matière que l’on ne possède pas à fond.
On peut comparer la méthode à celle d’un médecin généraliste ou de l’avocat qui font appel à leur esprit de synthèse (par exemple le diagnostic pour un médecin) et qui s’appuient constamment sur leurs ouvrages de référence (par exemple le code civil pour un avocat).
Voilà en quelque sorte, la manière dont je vois les choses pour mon activité future.
Tout cela n’a pas grand chose à voir avec Google mais je n’avais pas la prétention de faire un cours magistral. Je laisse ça aux spécialistes du genre… ;-)
A demain.

Où va-t-on ?

mini-pc

Présenter des applications web c’est bien joli mais il est bon aussi de temps en temps de faire une pause et prendre un peu de recul.

La question du jour pourrait être : A quoi peuvent bien servir toutes ces application dont la plupart existent déjà en mieux au niveau local.
On va me répondre : Les applications web prennent l’avantage pour tout ce qui est travail collaboratif, mobilité, partage etc…
Très bien mais on peut faire aussi du travail collaboratif avec des logiciels propriéraires.
Alors pourquoi une telle explosion des applications web ?

Il existe assurément des raisons profondes dont certaines me viennent à l’esprit :

  • Le coût de développement d’une application.
  • L’affranchissement de la diffusion.
  • Les effets d’échelle.
  • Le caractère universel des services.
  • La dynamique du web.

Peut-on alors dire que la toile est l’avenir de l’informatique ? Je le pense et il y a plusieurs raisons à cela :

  1. La généralisation de l’accès haut débit et l’essor du très haut débit
  2. La prolifération des hot-spots wifi
  3. Le perfectionnement des navigateurs
  4. La richesse des nouvelles applications web
  5. L’explosion de l’offre de services web
  6. Les possibilités offertes par les Ajax et autres Flash
  7. L’inter-opérabilité avec les systèmes de communications et en particulier, les téléphones portables

A partir de ces constatations, peut-on dessiner l’ordinateur du futur ?

Je pense que l’on peut prévoir sans trop s’avancer, que ce soit pour une utilisation privée que professionnelle, que le web va devenir incontournable.
Il n’est pas déraisonnable de penser que dans un futur proche, la demande en matière de “terminaux” internet va se faire de plus en plus pressante et les grands constructeurs vont sans doute être amenés à revoir l’architecture des PC traditionnels pour proposer des machines plus légères (en terme de stockage ou de mémoire par exemple) mais plus communicatives et moins chères.

A quand le webPC à 200 euros ?.
Peut être plus tôt qu’on ne le pense.

On aura sûrement l’occasion d’en reparler…

Jour 50 - Créer l’événement

feu_artificeCréer l’évenement est un bon moyen pour faire parler de soi.
Quelques exemples in et off web :

  • Le web 3 de Lemeur
  • Les blogs du coeur de Dupin
  • La vidéo de Ségolène Royal sur les profs (gros coup de pub indirect pour Dailymotion)
  • Tous les show case qui pullulent autour du lancement d’un site.

Tout dépend de la visibilité que l’on veut avoir, l’événementiel s’accorde aussi avec le local. Un fabricant de stores en alu qui veut faire connaitre son site dans son département peut organiser un mini-événement à l’échelle locale par exemple, en plaçant au dessus de son entreprise, un énorme ballon visible de très loin, sur lequel est imprimé l’adresse de son site ou encore (plus risqué), une série de tags au pochoir sur les murs de sa ville ou, plus festif, une soirée organisée pour inaugurer le site internet dans un cyber café.

Cela ne dispense sans doute pas de se pencher sur des moyens plus techniques de faire de l’audience, mais amateur peut donc amener des visiteurs sur son site sans avoir à faire appel à un professionnel du référencement.

Un dernier mot pour insister sur le fait que le plus important, et ça c’est incontournable, c’est d’avoir un contenu intéressant.

Demain, je parlerai de mes rapports avec un acteur incontournable du référencement : Google.

dzone : le digg des développeurs

dzone

Vous recherchez des articles ou des dossiers sur Ajax, Flex, RoR, Javascript, PHP ou tout autre API, langage, ToolKit etc…dzone est fait pour vous. C’est une véritable mine d’informations, souvent très pointues, d’autant que les articles sont en anglais.
L’intérêt, comme tout digg-like qui se respecte, c’est surtout de trouver le scoop ou le dernier plugin qui tue.
Vous pouvez aussi trouver des tutoriels ou des snapshots de nouveaux produits. J’ai par exemple déniché un scriptaculous Quick Reference très simple, complet et bien illustré.
Du coup, J’ai illico récupéré son fil RSS dans mon onglet netvibes consacré au développement.
Des heures de lecture en perspective… ( + 2 aspros ;-) )

dzone

Je viens de m’apercevoir que Philippe d’accessOweb avait déjà signalé son existence sur son site en octobre mais ce post m’avait échappé.

Jour 49 - Sainte audience, priez pour nous

sainteIl y a deux choses difficiles à faire sur le net. Passer inaperçu et exploser l’audience.

Pour la première chose, j’en sais quelque chose (ça fait beaucoup de choses tout ça). Quand j’ai publié un pilote de mon blog ervesphere sur le net pour voir ce que cela donnait, le jour même, j’avais un billet sur accessOweb qui me souhaitait la bienvenue dans la blogosphère. Je me suis fait l’effet d’un éléphant cherchant à se déplacer sans bruit dans un magasin de pocelaine. Quant-à exploser l’audience, trois mois après l’ouverture du blog, je suis loin du compte. Pourquoi une telle lenteur dans la progression de mon audience ?

Il n’y a pas un seule mais une multitudes raison à cela. Celles qui me viennent à l’esprit sont les suivantes :

  • Je n’ai pas pris la peine de référencer mon blog dans beaucoup d’annuaires (1 ou 2)
  • Je n’ai sûrement pas rédigé correctement mes meta-tags
  • Je ne participe que très peu aux commentaires des autres blogs (par manque de temps)
  • Je ne me suis jamais correctement penché sur mes profils dans ziki ou myweblog, je n’y racole pas.
  • Je n’ai jamais acheté d’adwords
  • Je ne connais pas les astuces pour augmenter mon page rank
  • Je n’ai que très peu de relations sur le net (ça vient, petit à petit)
  • Et surtout, celle qui me fait le plus mal : Je n’ai pas encore trouvé de formule assez originale pour sortir du lot.

Il y a certainement beaucoup d’autres raisons dont je ne soupçonne même pas l’existence et c’est sans doute celles-là les plus importantes.

Comme je le disais dans mon post précédent, tout ceci ne m’intéresse que très peu bien que je suis conscient que bloguer dans le désert ne sert pas à grand chose.

Il n’y a qu’une (noble) manière pour moi, de créer de l’audience : proposer un contenu suffisamment intéressant pour que le bouche-à-oreilles fasse son effet. C’est le seul buzz qui m’intéresse. J’ai l’air comme ça, de me draper dans ma fierté mais c’est vraiment ce que je pense.

Une autre manière intéressante d’avoir de l’audience qui ne doit rien à des tours de passe passe techniques, c’est la création d’événements. J’en parlerai demain.

Darkeye : pas daltonien pour 2 sous

darkeye

Quand vous recherchez un blog, vous pouvez le faire par le nom, le thème, l’auteur où encore par n’importe quel tag répertorié. Darkeye
vous propose de faire votre recherche par la couleur ! Pourquoi pas. Demain, je me réveillerai en me tisant : “Tiens, si je cherchais un blog jaune ?”.

Plus sérieusement, Darkeye peut être utile pour les webmasters à la recherche d’inspiration pour réaliser le design de leur site. En s’inscrivant sur le site, on peut sauvegarder le résultat de ses recherches sous forme de gallerie. On peut combiner jusqu’à six couleurs. Mais si les résultats sont corrects avec une seule couleur, ça devient vite aléatoire quand on utilise une combinaison de couleurs.
Dans ce cas là, le webmaster se réveille en se disant : “Mon site sera jaune. Tiens, qu’est-ce qu’il existe comme blogs jaunes sur le web”. Et là, Darkeye prend tout son sens.

darkeye

Krunch : compression en ligne inutile et indispensable…

krunch

Puisque tout doit être en ligne, il n’y a pas de raison que les logiciels de compression échappent à la règle. Krunch nous propose donc de réaliser des compressions de vos fichiers. 4 possibilités :

  • Compression d’un un fichier local
  • Décompression d’un un fichier local
  • Compression d’un un fichier en ligne
  • Décompression d’un un fichier en ligne

krunch

Utile quand on n’a pas un tel outil à disposition (?!)
D’un autre coté, il est facile, quand on a internet, de télécharger un logiciel de compression. De plus, dans la mesure où les espaces de stockage, tant externes qu’internes, sont de plus en plus importants, la compression est de moins en moins justifiée. Alors où est l’intérêt ?

Et bien à mon avis, l’intérêt réside dans le fait que, comme je l’ai dit dès le début de ce post, “tout doit être en ligne”. C’est la logique du web 2.0 et cela préfigure des applications qui seront proposés pour utiliser les futurs ordinateurs dédiés à internet.

Si dans quelques temps, on pourra acheter pour 300 euros des teminaux internet débarrasé des périphériques classiques et ne proposant uniquement que des applications en ligne, les outils tels que Krunch ou dans un autre style Zamzar (conversion de fichier images) deviendront indispensables.

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