C’est fou ce qu’on peut entasser dans un PC en l’espace de quelques années. Le mien avait 5 ans et n’en pouvait plus. Les PC, c’est pas comme les chiens. On ne multiplie pas par 7 mais par 20. Pensez-donc, le mien avait 100 ans. Il était grand temps que je le change. Il va finir ses jours dans la chambre de mon fils (le pauvre…). Je l’ai remplacé par une ferrari à double coeur avec un bel écran “wide” de 20′ et Vista pour faire marcher le tout. Du coup, j’ai passé la semaine à faire les “cartons” de mon ancien PC et à emménager le nouveau. Ca permet en même temps de faire le vide. Comme je le disais au début, c’est fou ce qu’on peut entasser comme programmes dans un PC, en se disant : on sait jamais, ça peut servir…

C’est un réflexe conservateur totalement stupide car avec internet et le 2.0, il ne sert à rien de stocker, on a tout à portée de main. C’est ce raisonnement qu’il faut avoir maintenant. Aussi, j’ai pris la bonne résolution de ne rien stocker de superflu sur mon disque dur. Des applications open, des photos, des vidéos, de la musique et basta. Le reste, je vais le chercher sur le web.

A ce propos, Il va falloir que je m’attèle à me faire une bibliothèque 2.0 classée par domaines. J’en reparlerai.

A+

PS : Bien évidemment, l’illustration ne représente pas mon vieux PC mais le premier micro que j’ai eu en…1980 !
Un TRS80 de chez Tandy. (Ca ne me rajeunit pas ! Nostalgie, quand tu nous tient… )

J’ai découvert Vodpod récemment. Je me suis dit de prime abord, encore un site vidéo style Youtube ou DailyMotion.

Et puis en m’y attardant un peu, je me suis rendu compte que l’objectif était différent. C’est en fait une sorte de gestionnaire de flux vidéos.

Ici on ne stocke pas, on fait référence, on compile et on propose. Vodpod appelle ces compilations, des “pods”. Ces pods sont partageables par tous les utilisateurs du site.

On propose d’accord mais on dispose également. Et ce, grâce à un widget que l’on insère dans son site/blog. L’utilité est par exemple, de pouvoir illustrer le thème de son blog avec des vidéos ad’hoc.

La compilation des titres se fait par des recherches sur plusieurs sites vidéos (YouTube, Dailymotion, Ifilms, Comedy central, Myspace ainsi que les propres flux de Vodpod)

La gestion des vidéos est assez complète bien qu’un peu fouilli. J’ai eu du mal à m’y retrouver au début avec les différentes pages et la somme importante d’information sur chaque page.

Une démonstration vallant mieux qu’un long discours, j’ai installé dans ma sidebar, un exemplaire du widget (ou “de la” widget, j’ai un doute là…) de vodpod. Les vidéos sont un peu le fait du hasard mais je les mettrait à jour au fur et à mesure. A moins que je ne la vire rapidement de peur que ma sidebar n’explose .

J’ai toujours été réfractaire à l’apprentissage de flash. J’ai tenté plusieurs fois d’en acquérir les rudiments, sans chercher à en devenir un expert mais sans succès. Il faudrait que je puisse m’enfermer pendant un mois avec flash sans pouvoir sortir, pour en tirer quelque chose. De guerre lasse, j’ai donc abandonné l’idée.
Et puis j’ai rencontré SWiSHmax.

SWiSHmax est une interface graphique capable de vous réaliser une animation le temps de dire ouf.

Le principe est simple : cette application intègre des dizaines d’effets, d’animations et d’événements différents que l’on peut combiner à souhait. Le langage est lui aussi utilisable en mode accompagné. En effet, un mode “guide” permet de créer du pseudo actionscript.

Plusieurs tutoriels ainsi que de nombreux exemples vous prennent par la main afin d’acquérir les principes de développement. Ensuite, avec un peu de pratique, on arrive à faire assez rapidement des progrès. Je ne vous montrerai pas les résultats de mes premiers essais (J’ai refait la page d’acueil d’erve66 avec SWiSHmax ici ) mais je vous renvoie plutôt vers les démonstrations que propose leur site. La version d’essai ne dure que 15 jours. Un peu court pour prendre l’outil vraiment en main. En revanche le prix n’est que de 77,51 euros (conversion dollar/euro oblige…).

Cela me semble tout à fait raisonnable pour une application vraiment bien réalisée et de surcroit, utile. Comparé au prix de flash 8 (836 euros), cela peut être une alternative intéressante pour qui veux entrer dans l’univers de Flash.

Personnellement, je vais continuer à tester la version démo pendant le temps qui me reste et si cette application me séduit toujours autant, je vais peut-être me la payer. (à suivre…)

Hier, j’ai déjeuné avec Philippe d’accesOweb que je vois régulièrement et Hubert, jeune entrepreneur dans le domaine du web entre autres, nouveau venu dans la région qui, comme beaucoup d’entre nous fourmille d’idées et de projets. J’aime bien ce genre de rencontre, ça donne le moral et regonfle les batteries. Il est prévu qu’il se joigne à Phil et moi pour monter une communauté locale autour de Fon, des blogs et du web en général. Il faut quand même avoir la foi pour venir s’installer dans le Roussillon et monter un projet dans les NTIC. Moi encore, je suis sur place, je n’ai pas de mérite. Mais venir ici intentionnellement,…chapeau.

Ceci dit, j’espère qu’il est le premier d’une série d’entrepreneurs qui, profitant de la mobilité et de la souplesse donnée par les nouvelles technologies, seront attirés par le soleil et la qualité de vie.

A quand le Roussillon, nouvelle Silicone Valley…

A propos, Jean Michel Billaut vient faire une conférence à la CCi de Perpignan sur le web 2.0. On va essayer de le convaincre de s’installer ici

Vous en avez marre des fonds d’écran XP ou Linux ? Alors plongez-vous dans l’univers onirique de Desktopography.
ce site vous propose des wallpapers originaux ou s’entremellent prises de vues naturelles et arrangements numériques. Les résultats sont superbes pour la plupart.
L’esthétique et l’ergonomie du site réalisé en flash sont réussis.

A découvrir, ne serait-ce que pour, de temps en temps, déconnecter du quotidien.

Comment faire un frontside 360 en snowboard, comment devenir un supporter des Giants de New York, comment réussir un café turc, comment protéger son argent en cas de crack boursier. C’est à ce genre de questions que Koonji se propose de répondre.
Pour chaque question, vous pouvez proposer vos propres contributions ou bien créer un lien vers des sites qui y répondent déjà.
Les chemins qui mènent à ce que vous recherchez sont multiples : champ de saisie, tags, dernières contributions, recherche par contributeur etc…
Mais ne nous y trompons pas, le site vaut plus par un cheminement au hasard que par une recherche précise. En effet, si vous recherchez comment apprivoiser un hanneton, il y a toutes les chances que votre recherche reste infructueuse, tout du moins tant que la base de connaissances n’est pas plus étoffée. En attendant, c’est assez sympa de surfer parmi les contributions et de glaner ainsi des informations qui un jour peut-être, pourront vous servir.
Sinon, on retrouve les principes qui prévallent dans tout site web 2.0 qui se respecte : collaboration, convivialité, système d’évaluation des réponses.
L’originalité tient surtout par un système ingénieux de toolbar qui permet de clipper les infos que l’on trouve en surfant sur le net et de les raccorder à un “how to” de koonji. Un bon moyen de remplir la base de connaissances rapidement.
Ici pas de création, pas de projet collaboratif, pas de manifestation d’une quelconque intelligence collective. Simplement, un catalogue de trucs et astuces sans prétention mais qui a l’avantage d’être récréatif et parfois, instructif.

Voilà pour ce site. Ca me fait penser que je vais aller faire un tour sur CrowdSpirit pour voir si ce site novateur a trouvé son public.

Après ces presque trois mois de travaux pratiques, il est temps de reprendre sa route. Et c’est là que je vois toute l’utilité de ce blog. Où en étais-je ?

Et bien au point 5 donc, les services web 2.0.

Pas de service web 2.0 sans le terme associé de SOA. Je vais donc m’atteler dans les prochains jours, à définir et surtour à comprendre la signification de ce “Service Oriented Architechtures”.

A part ça, Top10is a déjà fait une touche intéressante, à concrétiser évidemment. J’espère pouvoir en parler prochainement.

A+

J’ai déjà effectué un test, il y a peu de temps, sur les sites dédiés à la famille. Je me posais la question de l’intéret de ce genre d’applications. Je m’étais inscrit à exaroom qui me semblait plus intéressant que les autres. J’ai tenté de l’utiliser dans mon cadre familial. Finalement, par manque de temps et surtout parce que le produit ne m’a pas suffisament accoché, j’ai laissé tombé.

D’autre part, je cherchais il n’y a pas longtemps, des sites 2.0 de généalogie…Et puis je suis tombé sur Kincafe, un site dédié à la famille du même acabit que les précédents mais qui présente la particularité de proposer un arbre généalogique de la famille avec photo et fiche signalétique pour chaque membre. Cette fonction ne prétend pas suivre à la lettre les règles de la généalogie. Cependant, le système est vraiment très bien fait, intuitif et très facile à utiliser. C’est assez marrant de composer les différentes branches de la famille et de laisser les grand-tantes ou les cousins compléter l’arbre. On peut ainsi obtenir, de loin en loin, un arbre gigantesque, dont les ramifications dépassent de loin vos propres connaissances familiales.

Intégré à d’autres modules plus classiques comme un blog, un album photo ou un agenda, cela donne finalement un site bien ficelé qui resserera les liens entre les membres d’une même famille.

A noter pour les mordus, le très complet geneanet.org qui présente toutes sortes de services autour de la généalogie. Le mieux, c’est d’aller voir vous même car il me faudrait une semaine pour décrire toutes les fonctionnalités.

Près de deux mois après l’interruption de ce blog, je reprends mon bâton de pèlerin de la cause web 2.0.
J’ai mis à profit cette période pour terminer un site web dont la fonction est la gestion et l’animation d’un club de tennis. Nommé top10is.com, ce site propose une approche 2.0 de ce genre de services. Social, collaboratif, convivial, intuitif et gratuit, top10is.com devrait répondre aux besoins des clubs de tennis, squash et d’une manière générale, de tous les clubs gérant des réservations horaires.

C’est en quelque sorte ma modeste contribution au développement de l’offre web 2.0 et à la promotion des nouvelles pratiques du web. Je devrais ainsi pouvoir passer d’un rôle de spectateur/commentateur à un rôle d’acteur/commentateur qui à mon sens, est plus crédible.

Je vais donc, pouvoir recommencer à parler des sites qui ont retenu mon attention. La fréquence de mes posts sera sans doute assez faible au début mais petit à petit je reprendrai un rythme de croisière.

Alors à très prochainement.
erve.

Le lancement d’une activité de conseil en stratégie web nécessite, une fois les compétences acquises, un véritable plan de communication pour se faire connaitre en attendant d’être reconnu. Autrement dit, avant de pouvoir vendre ses prestations, comment se vendre soi-même. C’est pour moi, je le reconnais, une question particulièrement épineuse car, n’ayant pas l’âme d’un commercial ou d’un communicant, cette étape me semble insurmontable. Et pourtant, il faudra bien en passer par là. Et je ne parle pas seulement de campagne marketing sur internet mais bien d’aller sur le terrain démarcher les entreprises ou les institutions administratives et leur vanter les bienfaits d’une bonne stratégie web. Et les questions sont multiples :

• quelle méthode
• quels supports
• quel budget
• quel investissement temps
• quels partenaires…

Je n’ai pas le caractère à me lancer bille en tête et voir venir. J’ai besoin de planifier tout ça, ne serait-ce que, le moment venu, intégrer ces données dans mon plan de financement.

Les conseils et les expériences à ce sujet sont les bienvenus.

A +