Eric Vernis



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L’immobilier, bientôt communautaire.


Depuis quelques temps, un mystérieux site introduit par limmobilierautrement.com est dans les starting-blocks.

Mis à part le subtil teasing élaboré par les concepteurs de ce site (et pour lequel je contribue en relayant l’info sur mon blog), le concept est assez révolutionnaire dans un domaine verrouillé par les marchands de biens qui ont pignon sur rue. Quel est l’objectif ?

Et bien, limmobilierautrement.com (appelons le “ia” par commodité, je crois savoir que de toute façon, ce n’est pas le nom définitif) propose aux utilisateurs de devenir eux-mêmes, les “promoteurs” de maisons à vendre. Je n’emploie pas le terme de vendeur sciemment car (si j’ai bien compris) il n’est pas question de vendre un bien (ce qui est tout de même assez règlementé) mais bien d’en faire la publicité en élaborant une sorte de mini-site consacré au bien à vendre et dont l’utilisateur tirera des revenus en fonction du nombre de visites sur sa page.

- Ah ! Je vois déjà des yeux s’illuminer et des coins de cervelles faire “tilt”.
- Bon sang mais c’est bien sûr ! Une boutique Zlio appliquée à l’immo.
- Comment n’y avait-on pas pensé avant.

Mais allez vous me dire, qu’est-ce qui empêche un escroc, de faire la promotion de biens immobiliers fictifs ?
Et bien le marché devrait se réguler par un principe de notation des membres qui proposent des biens, un peu comme le système d’Ebay. De plus, je présume que les animateurs du site veilleront à ne rétribuer que les membres “sérieux”.
Le site n’exclue pas les agents immobiliers qui pourront eux-même créer à travers ia, leur propre réseau social immobilier.

A mon avis, les concepteurs d’ia ont entre leurs mains une véritable “bombe” qui va assurément faire du bruit dans le milieu immobilier et au-delà.
En tout cas, moi je crois beaucoup au concept. Et je vous tiendrai régulièrement au courant de l’avancement du projet. Je vous invite également à suivre leur actualité sur leur blog.

Jours 154-157 : Quelle place pour le développement dans une activité de conseil

couteau suissePeut-on sérieusement envisager une activité de développement de sites en parallèle à une activité de conseil ? C’est une question que je me pose fréquemment. Ayant pour objectif de pouvoir vivre de mon activité, il sera difficile dans un premier temps, de refuser le travail que l’on me proposera. Cela peut être de la formation, de l’animation et de la gestion de sites, du développement ou que sais-je encore. J’ai eu l’occasion il y a assez longtemps, de travailler dans une SSII qui a coulé parce qu’elle n’avait pas su évaluer la quantité de travail à fournir ainsi que les délais de mise en oeuvre. Croulant sous le travail, ne sachant jamais dire “non”, on s’est vite retrouvé avec des clients qui se détournaient de nous. Le patron, par manque de sang froid, au lieu de s’en tenir à ce qu’on savait faire, acceptait a peu près tout et n’importe quoi.

Chat échaudé craint l’eau froide.

Je ne suis pas prêt à renouveler l’expérience. Il faut donc déterminer au départ et avec beaucoup de minutie, les tâches compatibles avec l’activité principale de celles qui sont parasites. J’aime développer. Mais il faut avouer que cela demande un investissement en temps et en ressources humaines très important. Mon approche en la matière, sera sûrement de proposer une offre mais non de répondre à une demande. Cela me permettra de me concentrer sur l’activité de conseil mais de pouvoir garder une activité secondaire que je puisse maitriser.

Par exemple, dans le cadre d’une prestation de conseil dans la mise en place d’un blog d’entreprise, je peux proposer en complément, l’élaboration du site, la formation des webmestres et modérateurs, l’hébergement et la maintenance, etc.
Enfin, il faut que je creuse l’idée…

Wiredness.com : Faire simple pour faire efficace

wiredness

Il y avait longtemps que je n’avais pas parlé d’un outil graphique en ligne. Wiredness est de ceux-là.

Wiredness, qu’on pourrait traduire par “cablitude” s’adresse aux internautes comme moi, qui n’ont plus le temps d’utiliser des logiciels de retouche de photo classiques dont on utilise en général que 10% des fonctionnalités et dont la mise en oeuvre est souvent longue et compliquée.
L’atout principal de Wiredness est justement, la simplicité d’utilisation (ou la “simplitude ” pour les ségophiles ;-) ).
En résumé : On charge sa photo ou on la récupère sur le web, on la transforme à son goût (les fonctions “crop” et “resize” sont particulièrement efficaces), on la sauvegarde et basta !
Mais simple ne veut pas dire simpliste. Les fonctions ne sont pas pléthoriques mais sont souvent suffisantes pour un travail basique. Surtout, l’interface est comme je les aime : dépouillée et ergonomique. Efficace je vous dit. A tel point que je vais l’adopter illico pour retoucher les illustrations de mes blogs.

wiredness
Une fois les modifications de l’image effectuées, on peut sauvegarder le travail aux formats jpg, png ou gif. On peut aussi envoyer le résultat par mail.
Mais ce n’est pas tout. On peut aussi les sauver directement sur Flickr, Glowfoto.com ou ImageShack.us, en un seul click. Vous pouvez ainsi vous composer une base d’image en ligne. Simple je vous dit !
Pour finir, cerise sur le cake, wiredness propose une API sous forme d’un petit programme php, vous permettant de travailler vos photos et de les sauvegarder directement depuis votre blog. un peu comme si votre wordpress ou votre dotclear avait un plugin de manipulation d’images.
Vraiment, c’est un outil que je recommande chaudement.

Jours 147-153 : OpenLaszlo, le coup de foudre.

omDe retour de vacances, je me suis plongé dans un nouveau chantier. OpenLaszlo.

Cette plateforme de développement m’a séduit d’entrée pour plusieurs raisons mais notamment parce que je cherchais depuis un certain temps, un outil me permettant de réaliser des RIA sans pour autant, avoir à manipuler directement Ajax et sans avoir à utiliser cinquante outils différents. Par exemple, j’ai développé top10is.com en utilisant Xajax, scriptaculous, dojo, sans compter l’environnement LAMP qui déjà à lui tout seul est une véritable usine à gaz.

Je recherchais donc, pour la partie interface graphique, un outil cohérent, qui regroupe toutes les facettes d’un développement d’une application riche. J’avais été séduit un temps par Flex d’adobe, proposant une interface de développement géniale mais dont le coût important m’a freiné.

Et puis je suis (re)tombé sur OpenLaszlo qui comme son nom l’indique, est open ce qui est un atout non négligeable et dont le langage, type XML, se rapproche de Flex. J’avais déjà approché cette environnement il y a un quelques temps mais, me semblant assez compliqué à mettre en oeuvre et ayant une communauté encore peu développée, je l’avais rangé avec Ruby on Rails, au rayon des originalités séduisantes certes, mais pas assez “sérieuses” pour y confier le développement d’un site.
En fait, je m’étais trompé.
Après avoir parcouru des démonstrations, visité des sites et lu pas mal de doc sur OL, je me suis donc décidé à étudier ce site en profondeur. Je mentionnerai mes progrès dans ce blog.

Un seul problème, les initiales : et oui… moi c’est plutôt l’OM. (qui ne saute pas n’est pas marsé-yé !) ;-)

Copaing.net : un “copains d’avant” de maintenant.

logo

Si il est incontestable que le site “Copains d’Avant” est le number one des sites pour quarantenaires nostalgiques en mal de repères et de racines et qui cherchent à renouer le contact avec ses ex ou ses potes perdus, catégorie dont je fais partie sans pour autant avoir cédé à la tentation de m’inscrire, il existe une alternative plus fun, plus free et plus hype donc plus web 2.0 que “CdA”, j’ai nommé Copaing.net, le site gratuit de recherche de ses anciens copaings. (ça y est, je crois que j’ai battu mon record de phrase la plus longue ;-) )

copaing

Alors évidemment, Copaing est pour l’instant assez pauvre en copains (à l’heure où je vous parle, un poil moins de 2000 membres). L’intérêt d’un tel site, c’est d’avoir un maximum d’adhérents. C’est sûr que comparé à CdA, fort de ses 4 millions de membres (2 millions selon les RG…), copaing fait figure de moustique. (CdA qui, soit dit en passant a été phagocité par “L’Internaute”, logique de concentration et de taille critique garantie de pérennité mais peut-on exister autrement, c’est un autre débat….)

Néanmoins selon moi, ce site gagne à être connu et cela pour plusieurs raisons :

  • Je suis contre les monopôles.
  • Il est très bien fait et très simple à utiliser
  • L’esthétique sobre et “classe” est beaucoup plus tendance que celle de CdA
  • Il propose des options telles que la géo-localisation sur google maps ou encore plusieurs widgets à installer dans votre blog.
  • Il est entièrement gratuit contrairement à CdA qui vous demande de vous abonner moyennant pépettes, dès que vous tentez d’accéder aux coordonnées de vos contacts.
  • Il intègre des effets sympathiques (slides, fades) ainsi qu’un diaporama des photos très réussi.
  • Il est réalisé et propulsé par une bande de “copaings” (Xuxu, Thanh…) qui bougent dans la sphère web 2.0

Reste à savoir sa capacité à exister et à résister au rouleau compresseur CdA. C’est dans cette optique que je parle de Copaings et que j’incite mes lecteurs à connaitre et à faire connaitre ce site, pour qu’il puisse se faire une place au soleil. Je me suis moi-même inscrit et je vais essayer de me construire une communauté de copaings.
J’en reparlerai pour vous faire part de l’évolution de ma sphère et qui sait, peut-être mettrai-je bientôt un widget de mes copaings sur mon blog :-)

Sensasions fortes

Pour les malchanceux coincés chez eux pendant ces vacances de pâques, voici une petite animation qui vous secouera un peu la pulpe.
Sensations fortes garanties.
grand8

Génèse.

C’est toujours instructif de savoir d’où l’on vient. Je suis tombé par hasard sur ce diagramme qui retrace en détail, l’arbre généalogique des langages informatiques.
Et l’on apprend par exemple que PHP est né en 1995 et est issu de Perl 5, lui même né en 1987 et inspiré de nawk qui vient de awk dont l’ancêtre s’appelle Snobol et est né en 1963.
Mais le père et la mère de tous les langages modernes sont Fortran et Cobol, sortes de langages assembleurs conçus pour être transcrit sur des cartes perforées compréhensibles pour les ordinateurs de l’époque. J’ai moi même débuté sur Cobol, ce qui reviendrait à dire que j’ai apris à conduire sur une DeDion-Bouton de 1927.
Fortran a notamment engendré Algol, le père de Pascal (le bien nommé ;-) ), ainsi que Basic, le père de tous les bidouilleurs qui ont fait la micro-informatique actuelle.
En ces temps de fêtes pascales, on se rend compte que La tour de Babel reste très actuelle.
diagramme

Jours 146 : Il ne faudrait pas se relire…

marinelandIl y a quelques jours, sur l’article intitulé “Reprise des hostilités”, je me suis vu déclarer : “Pas de services web 2.0 sans SOA”. Tient donc ?

Depuis le début du blog, j’en ai sorti des conneries mais celle-la…! Bon, il faut assumer ses erreurs. J’aurais pu discrètement retirer la sentence incriminée et passer à autre chose mais il m’a paru plus…disons “utile” de préciser l’objet de ma confusion.

Sans entrer dans le détail, les Architectures Orientées Service ont été inventées pour répondre à un besoin à la fois de rationalité et de rentabilité souhaité par les SSII. Le but est d’optimiser la réutilisabilité, l’interopérabilité et de réduire le couplage (notion de couplage faible autrement dit d’indépendance forte des modules).

Pouvoir étendre ce concept à la réalisation de sites web et notamment de sites web 2.0 est louable, mais c’est loin d’être systématique. Concevoir une application web 2.0 en appliquant les préceptes du SOA suppose une vision à long terme de l’activité de développement souvent incompatible avec les exigences économiques immédiates. Autrement-dit, développons une application qui fonctionne correctement dans un délai minimum, sans se préoccuper notamment de la réutilisabilité.

On le voit, les préoccupations des développeurs web ne sont pas forcément les mêmes que celles des grandes SSII.

On peut cependant voir dans la galaxie web 2.0, l’incarnation d’une gigantesque architecture orientée objet. C’est la théorie que propose Dion Hinchcliffe dans un post intitulé “Is Web 2.0 The Global SOA?”.

Pour a part, je me contente d’étudier l’interopérabilité illustré par le concept de service web, c’est à dire les protocoles d’échange d’information entre plusieurs applications : L’exemple le plus évident étant XML.

En attendant, je prends 4 ou 5 jours pour aller voir les dauphins en famille. Vidage de tête garanti :-)

Chesspark : une certaine idée des échecs.

chesspark

Un parc. Dans un coin, des tables et des hommes souvent agés, attablés face à face, concentrés sur leur échiquier. J’ai toujours trouvé ce genre de scène très poétique et surtout, particulièrement reposant.
Chesspark s’est inspiré de ces rencontres bucoliques pour nous proposer un site 2.0 sur les échecs.

chesspark.jpg

Que peut-on faire avec Chesspark ? Et bien, à part jouer aux échecs, pas grand chose, et c’est bien le but. Tout tourne autour des 64 cases. On se réunit autour de “rooms” pour chater, on assiste à des parties, on commente, on recherche de nouveaux partenaires, tout ça dans un esprit très “2.0″.

On a également la possibilité de jouer contre deux automates : Robo Pawn pour les débutant (1063 points) et Robo Knight pour les plus chevronnés (1307 points). Vous pouvez donc vous entrainer sans craindre le ridicule, avant d’affronter des adversaires en chair et en os. J’ai joué hier; une partie avec Robo Pawn, inachevée par manque de temps. J’ai voulu reprendre la partie puisque cette option est proposée mais apparemment, le site à du mal encore à retrouver ses petits car il s’est arrêté sur “searching, please wait…”. J’attends toujours ;-) D’une manière générale, le système a du mal avec les recherches. J’ai essayé de trouver une partie en cours à regarder mais je tombe toujours sur le message d’attente. En revanche, le chat est bien pratique pour trouver un adversaire “à la volée”. Au moment où je suis connecté, plus de 62 participant sont présent dans le chatroom de “central park” (oui, il y a plusieurs chatrooms).

Tous les participants sont ratisés (pardon pour l’anglicisme :-O ), c’est à dire qu’on leur attribue un certain nombre de points en fonction des parties gagnées ou perdu. Je n’ai pas réussi à savoir si cela correspondait aux fameux points ELO avec lesquels on classe les compétiteurs.

Chesspark nous donne aussi la possibilité de s’affranchir du navigateur en téléchargeant un module

On peut se poser la question de savoir ce que peut apporter Chesspark par rapport à la multitude de sites de jeux en ligne. Je dirais que le monde des échecs a toujours aimé cultiver un certain élitisme ainsi qu’un certain “art” de vivre. Chesspark s’inscrit dans cette philosophie. Son esthétisme élégant, l’ergonomie de son échiquier, son coté “private” acentué par l’adresse mail qui vous est donné à l’inscription (erve@chesspark.com) font de ce site, un must pour les passionnés d’échecs. Bon, vous le savez peut-être, moi c’est plutôt le tennis mais je ne rechigne pas de temps en temps à faire une partie d’échecs, avec un bon cognac et un long cigare. (quel snob !).

Allez, qui viendra me défier sur Chesspark :-D

JourS 144/145 : Nostalgie II (le retour)

appleIIcTant que j’y suis, et pour le cas où je sois un jour frappé d’amnésie, je laisse sur ce blog la présentation des différents micros que j’ai eu dans ma déjà longue carrière. Après le TRS80 sur lequel j’ai fait mes premières armes en basic et en assembleur, j’ai donc eu un Apple IIc, sans la souris. L’ancêtre des ordinateurs portables (il avait une poignée !), initiait déjà la révolution apple. Il n’était pas vraiment à moi (trop cher pour ma bourse à l’époque, il appartenait au lycée dans lequel j’habitais.) mais je me l’étais plus ou moins approprié, étant le seul à savoir le faire marcher. Peu de souvenirs sur cette bécane si ce n’est ce petit programme ou il fallait vendre du jus d’orange.

Pour les cinéphiles, l’apple IIc, c’est celui que l’on voit dans le film “2010, odyssée 2″ réalisé en 1984. C’est dire à quel point l’imagination des auteurs de SF était confuse sur le plan informatique puisque cet apple IIc était utilisé en 2010, c’est à dire, 9 ans après l’ordinateur H.A.L. de “2001, odyssée de l’espace”, doué d’une intelligence artificielle bien supérieure à ce que l’on réalise actuellement. Cherchez l’erreur…

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