Et de deux…
Philippe d’accessOweb, vient de nous dégoter de derrière les fagots, le clone de WineLog.
Il s’appelle Bottletalk. Même principe, mêmes fonctions, sauf que encore plus fort, le site est english. On aura tout vu…
Rahhh !!!
Il y a des jour où l’on a envie de se faire tout petit. Je viens de découvrir Winelog.net, un site de partage et d’évaluation sur le vin. Et bien figurez-vous que ce site est…américain, de Philadelphie exactement. D’où le titre, Rahhh, qui en langage plus compréhensible signifie : “Mais comment se fait-il que ce ne soient pas des froggies qui ont initiés ce site ? “. Moi qui suis d’une région viticole, vous comprenez mon désarrois.
Il existe des sites français de vente de vin en ligne mais à ce que je sache, nous n’avons pas l’équivalent de Winelog chez nous. (houhh, la honte !)
Bon, on met sa fierté dans sa poche, avec le mouchoir par dessus et on regarde de quoi il en retourne…
Présentation
Winelog.net est tellement riche que je ne sais par quoi commencer. Le principe est le suivant : Vous recherchez un vin. Si vous ne le trouvez pas, vous le rajoutez. Vous pouvez commenter un cru, le classer, le taguer, le recommander.
Vous pouvez rechercher un vin selon plusieurs critères :
- Le Pays
- Le cépage
- Le Type (rouge, blanc, rosé, moelleux)
Mais vous pouvez aussi faire des recherches par tags.
Ce n’est pas tout. Il y a un blog très intéressant (du moins pour les wine-dummies) où les membres laissent des conseils, des tests des avis sur leurs vins préférés. Il y a même un rigolo qui a rédigé un article faisant une corellation entre la consommation de vin et la baisse du taux de criminalité, graphiques à l’appui. A mon avis celui là, il faut qu’il arrête la bibine…
A quoi ça sert ?
Imaginez à l’échelle mondiale, la formidable base de donnée que vous obtenez sur les vins, leurs cépages, leurs millésimes et tout ce qui tourne autour du pinard. C’est tout simplement génial. Actuellement, vous tapez “Roussillon” et vous obtenez 25 crus et pourtant, on ne peut pas dire que les vins du roussillon soient particulièrement connus à l’étranger. Il y a même un cru languedocien nommé “fat bastard” !. Alors celui-là, il faudra que je le goute.
Autre utilité : les tags. Vous cliquez sur beef et hop, vous avez les vins qui s’accommodent le mieux avec le boeuf. C’est pas beau ça ? Vous avez aussi la possibilité de faire des recherches sur le nom des vins. Vous saisissez par exemple “mouton” et vous n’obtenez pas de vin s’accordant avec du mouton (il aurait dans ce cas fallu saisir mutton) mais notamment une fiche sur le Mouton Rothschild 2005 à 550 euros la bouteille. (gloups !). Heureusement, vous pouvez aussi trouver des crus moins chers comme ce “French Cat Chardonnay 2004″ aux parfums d’orange et de strawberry, à 6 euros la bouteille.
Vous pouvez aussi passer par leur centrale d’achat, pour acheter du vin mais à mon avis ce n’est pas le plus intéressant. (pour eux si, il faut bien vivre…)
Voilà, si vous êtes intéressés, vous pouvez vous inscrire et participer à l’aventure de ce qui deviendra sans doute, le “wikipedia du jaja“. Vous pourrez y ajouter vos vins préférés et les faire connaitre dans le monde entier, commenter les vins déjà en ligne.
Conclusion
Comme quoi, les américains ne sont pas tous anti-frenchies. En tout cas ils apprécient nos productions et notre savoir-vivre. Sérieusement, ce Winelog est un grand cru, bien qu’encore jeune. Il faudra le garder encore un peu avant de le consommer. En effet, la base de donnée est assez maigre pour le moment. Néanmoins, ce site s’avèrera très utile, notamment pour découvrir les vins du nouveau monde. Que dis-je utile, indispensable et surtout, vraiment caractéristique de ce que le web social peut apporter de mieux à l’humanité. J’en fais peut-être des tonnes mais bon, pour un sujet aussi grave, il ne faut pas lésiner sur les superlatifs. Un seul regrêt : ils n’ont pas implémenté de module de dégustation. Hips…
Agoravox se lance dans l’investigation collaborative.
Agoravox, le media citoyen, a pour vocation de transformer le citoyen en journaliste. Sa démarche est différente des digg-like en ce sens que les articles sont rédigés directement sur ce site et sont donc exclusifs contrairement aux fuzz et autres scoopeo qui compilent les infos venues d’ailleurs et les classent selon leur popularité. Chaque membre est un rédacteur et participe au contenu a condition que celui-ci soit accepté par le comité éditorial composé de certains rédacteurs. Bon, je ne m’étends pas là dessus partant du principe qu’Agoravox n’est pas un petit nouveau et que la plupart d’entre-nous connaissent bien ce site. Personnellement, j’en suis un lecteur assidu.
Bref, ce post concerne une nouvelle initiative de ce site(oyen ) : L’ouverture d’un wiki dédié au journalisme d’investigation. Là, il ne s’agit plus d’écrire de belles envolées lyriques sur vos états d’âme concernant le tailleur de Ségolène Royal ou la foulée de Nicolas Sarkozy. Il va falloir mouiller la chemise et aller sur le terrain.
Le principe
D’un point de vue web social, cette initiative est très intéressante car elle suppose, pour chaque sujet validé, une véritable collaboration entre les “journalistes”. Agoravox prévoit ainsi, un journaliste référent, véritable chef de projet, qui coordonnera les journalistes de terrain et sera chargé de compiler et de mettre en forme les informations reçues. Prenons par exemple, un sujet sur le hooliganisme dans les stades. Chaque “envoyé spécial” pourra faire un papier sur le club de sa ville. Le coordonnateur pourra ainsi, faire un papier intéressant sur l’étude comparée des différents supporteurs en france (voire à l’étranger, pourquoi pas). Génial non ?
Conclusion
Le projet étant tout récent, il est difficile de savoir si la mayonaise va prendre. De ce genre de projet (voir aussi CrowdSpirit) dépend l’avenir du web collaboratif, ou tout du moins son développement. Personnellement, j’adorerais prendre part à cette expérience. Mais bon, je manque de temps…Je peux toujour leur proposer le sujet sur le hooliganisme, c’est d’actualité.
Zagaz, le plein pas cher…
Je sais, à première vue, on se dit que ce site n’a rien d’un site web 2.0. Effectivement, dans la forme, Zagaz est tout ce qu’il y a de plus classique, voire ringard. Et pourtant, en y regardant de plus près, on peut se poser la question.
Qu’est ce que Zagaz ?
C’est un site permettant de localiser les stations d’essence les moins chères. Là où est l’originalité, c’est que ce sont les internautes eux-mêmes qui alimentent et mettent à jour la base de donnée. On y trouve un forum, un blog sur l’actualité routière, un classement des membres les plus actifs.
Alors, web 1.0 ou web 2.0 ?
Zagaz est du web social car c’est un site d’entraide fait par et pour les internautes “routiers”. C’est en ce sens que l’on peut considérer que Zagaz a un pied dans le web 2.0. Alors imaginons que Zagaz ait un look type “menuism”, le site qui localise et évalue les restaurants. On ne se poserait pas la question de savoir si c’est du web 2.0 ou pas mais plutôt, si les fonctionnalités sont intéressantes ou si le site est utile.
Conclusion
Comme je l’ai expliqué plus haut, Zagaz a un pied dans le web 2.0. Il s’agit bien d’un site web social. Nul doute que Zagaz a une utilité réelle auprès des internautes consommateurs de carburants (en gros, tout le monde!). Cependant, il aurait tout intérêt à revoir sa présentation et à moderniser son site. Bien sûr, on n’est pas obligé de mettre du flash ou de l’ajax partout pour faire un bon site internet. Le web est plein de sites qui en mettent plein la vue mais qui ne servent à rien. Mais ce faisant, Zagaz s’expose à se voir piquer ses clients par un site qui aurait pompé son idée (ou siphonné pour rester dans l’essence…) mais qui l’aurait emballée dans un joli paquet 2.0. Les grosses cylindrées (Yahoo, Aol, TF1…) l’ont bien compris et ont repensé toute leur interface client. Longue vie malgré tout à Zagaz qui à défaut de nous faire économiser du pétrole, nous fait économiser de l’argent…
Wild Apricot, le web 2.0 au service des assoss…
Pour faire echo à l’excellent article de Laurent Samuel publié cet été sur le site “l’envie d’entreprendre“, voici la présentation de Wild Apricot, application destinée aux associations à but non lucratif.
C’est un outil de travail qui intéressera les présidents en mal de reconnaissance et qui veulent donner un coup de fouet à leur association en dynamisant la communication interne et externe.
Et c’est vrai que cette application peut booster la com d’une association.
L’inscription
Elle est simple et rapide. W.A. ne demande qu’un minimum de renseignements sur l’association que vous voulez créer : un nom et un prénom, le nom de l’association, un email et un mot de passe. Vous en profitez aussi pour déterminer le nom de votre site. W.A. vous propose plusieurs suffixes. Pour ce test par exemple, j’ai choisi “ervesphere.memberlodge.org“.
En 5 minutes vous accédez à votre site.
Que nous propose W.A.
- Un blog
- Une gestion des membres
- Une gestion des donations
- Une gestion des événements
L’édition
Le module d’édition permettant notamment de rédiger les articles du blog est très efficace et intuitif. Il se sert des possibilités d’ajax de manière très judicieuse, ce qui rend la saisie facile et agréable. Les blogueurs novices n’auront donc aucune difficulté à publier leur production. Ils pourront se concentrer sur le contenu, laissant W.A. s’occuper de la forme.
Les options
Moyennant un abonnement (50$, 100$, 200$ par mois) vous avez acces à de la mémoire supplémentaire et vous évitez une fenêtre de pub.
Les options payantes autorisent aussi les donations en ligne et bientôt un module d’emailing pour les membres.
Conclusion
Ce site est intéressant pour la com des associations. Mais en fin de compte, son champ d’action aurait pu être plus complet. On aurait par exemple aprécié un module de gestion (suivi des cotisations, relances…) ou encore, un agenda (à ne pas confondre avec le module de gestion des événements). Pour résumer, si cette application peut s’avérer utile, elle ne se rendra indispensable que si elle couvre toutes les activités d’une association. Il y a fort à parier que W.A. s’étoffera certrainement pour devenir plus attractive.
Slideshare, quoi en faire ?
Vous avez sans doute entendu parler de Slideshare, cette application internet vous permettant de mettre vos powerpoint en ligne. Le but de ce post n’est pas d’en faire le tour car la description du site se résume en 3 phases :
- Créez votre présentation (sous Powerpoint ou OpenOffice)
- Uploadez votre présentation
- Partagez votre présentation
Un petit tour quand même pour la forme :
C’est tout. Le processus est simple. La véritable question est :
Le fun
Vous devez tous recevoir par mail, comme moi-même, des présentations humoristiques ou artistiques envoyés par des potes. La diffusion par mail, bien qu’ayant fait ses preuves, a néanmoins ses limites. Avec SlideShare, vous avez d’un seul coup, une audience à grande échelle.
Les affaires
Et du coup, ça doit vous faire tilt : pourquoi ne pas l’utiliser pour se faire de la pub ? Charité bien ordonnée commançant par soi-même, voici un exemple qui je l’espère, pourra donner un coup de pouce à mon blog de manière plus efficace que des référencements plus ou moins aléatoires. Et apparemment, je ne suis pas le seul à y avoir pensé, si j’en juge par le nombre déjà impressionnant de clips orientés business.
Conclusion
Nous voici en face d’un media supplémentaire avec lequel on peut augmenter son buzz. C’est une alternative à la communication graphique, vidéo ou audio à ne pas négliger. Cependant, au même titre que les YouTube et autre DailyMotion, Slideshare est avant tout utilisé pour faire passer toutes sortes de messages. Il me semblait néanmoins intéressant d’aborder ce site sous un angle “business”. Qu’en pensez-vous ?
Traineo, la thérapie de groupe en 2.0
erve : Bonjour, mon nom est erve.
Communauté (en choeur) : Bonjour erve !
TEO (Traineo Executve Officer) : Salut erve, que nous vaut ta venue parmi nous ?
erve: Et bien à force de rester devant mon écran à ingurgiter du web 2.0, j’ai pris dix kilos en l’espace de trois mois.
Communauté : Ouhh ! Ouhh !
TEO : Ne vous moquez pas d’erve, vous aussi, vous étiez en surcharge quand vous êtes arrivé. Bien erve, tu as frappé à la bonne porte. Chez Traineo, nous allons t’aider à perdre du poids. Mais pour cela, tu dois toi aussi devenir un traineonaute…
Voila ce à quoi pourrait ressembler un SignUp chez Traineo.
Traineo nous fait découvrir la thérapie de groupe virtuelle. Le but, en l’occurrence, c’est de perdre du poids. Et pour ce faire, le site met en oeuvre tous les moyens à la disposition du web 2.0 :
- Espace personnel
- Commentaires et encouragement de la communauté Traineo
- Suivi personnalisé (Statistiques, graphiques, objectifs…)
- Aides et liens en ligne
Presentation
“Perte de poids et Fitness, c’est une question de motivation”. C’est l’accroche de Traineo. On voit tout de suite où ils veulent en venir.
La page de garde vous met dans le bain : Elle vous présente un compteur en temps réel (web 2.0 oblige) égrainant le nombre de calories brulées par la communauté Traineo. Et rien qu’à regarder ce compteur, ça vous motive déjà pour commencer votre régime. Pour enfoncer le clou, on nous présente aussi des statistiques sur les différentes prouesses caloriques des traineonautes.
Le site est clair et agréable, typique de la production web 2.0. Tout est visualisable sur un écran (pas ou oeu de scrolling à faire). Les différentes rubriques sont accessibles à l’aide d’onglets. Des icônes rendent le tout convivial et facile à utiliser.
L’espace personnel est composé de 4 rubriques principales concernant :
- Les exercices physiques effectués
- Le régime alimentaire
- le suivi du poids
- les “logs”, que je traduirais par les “marqueurs”
A ces 4 rubriques, il faut ajouter les habituelles options qui rendent le site “participatif”.
- Les messages
- La rubrique “About Me”
- La possibilité d’ajouter des “motivateurs” (terme un peu barbare mais qui est assez explicite)
- Un acces au blog du site
- Un forum
Utilisabilité
Les technologies utilisées pour développer ce site (Ajax, Php, JS, SOAP sur une plate-forme LAMP) permettent un rendu très riche. Les fenêtres et autres menus profitent d’effets de transparence, scrolling, fading du plus bel effet. Le parti-pris de ne visualiser qu’un nombre restreint d’informations par page permet une lisibilité parfaite. Les graphiques sont présents sans être redondants. La clarté semble avoir été une préoccupation constante au cours de l’élaboration de ce site et le résultat est concluant.
Conclusion
Attention, il ne faut pas voir ce site comme une alternative à l’intervention d’un nutritioniste ou un préparateur physique. Il fournit juste des outils permettant d’avoir un suivi précis du régime utilisé. Et il faut reconnaitre que ces outils sont très bien faits. La valeur ajoutée vient principalement du fait que l’on peut entrer en contact avec d’autres personnes pour pouvoir profiter de leur expérience et de leur motivation. Ajoutez à cela les nombreuses aides permettant de s’informer sur le sujet et vous obtenez un site utile dans le sens où il agit de manière concrête dans la “vraie” vie et ne se contente pas d’être un gadget virtuel.
La formule pourrait être déclinée pour d’autres domaines avec, à mon avis, le même succès :
- Stop tabac
- Alcooliques anonymes
- Soutien psychologique
- 2.0maniaques
Les idées ne manquent pas…
Peuplade.fr, web social adapté à l’échelle du quartier - Social web adapted to district scale
“peuplade” est un site français permettant de tisser un réseau d’entraide et de rencontres au niveau de son quartier. L’expérience est menée sur Paris mais est facilement transférable dans une autre ville ou même à l’échelle d’un village.
“peuplade” (”tribe”) is a French site allowing to weave a network of mutual aid and meetings on the level of the district. The experiment is managed on Paris but is easily transferable in another city or even on a village scale.
L’inscription - Sign up
La procédure d’inscription est en plusieurs étapes. Après s’être identifié à l’aide d’un pseudo (nom sous lequel on se fera appeler dans la réalité), on se localise sur une carte à l’aide d’une punaise de couleur virtuelle. Ensuite, on répond à un questionnaire sur ses goûts et ses activités dans son quartier. Voilà pour l’inscription.
Et après, qu’est-ce qu’on fait ? Le but d’un tel site n’est évidemment pas de rester dans son coin. Le but, c’est de connaitre d’autres individus. L’étape suivante consiste donc à surfer dans son quartier.
Sign up procedure is in several stages. After have been identified using a pseudo (name under which one will be called in reality), one locates oneself on a chart using a virtual colour pin. Then, one answers a questionnaire on his tastes and his activities in his district. Here is for the inscription.
And what do we do afterwards ? The goal of such a site is not obviously to remain in its corner. The purpose is to know other individuals. The following stage thus consists in surfing in its district.
Le surf - surfing
Surfer dans son quartier peut sembler un peu réducteur pour un internaute habitué à rencontrer des australiens ou des argentins, mais la nature ayant horreur du vide, cela ne vous prendra pas moins de temps pour faire le tour de votre cité que our faire le tour du monde. Vous pouvez aussi en profiter pour consulter les petites annonces du coin.
To surf in its district may seem to be a little bit reducing for a Net surfer accustomed to meet Australian ones or Argentinian ones, but nature having horror of the vacuum, that will not take less time for you to make the turn of your city than our to make the turn of the world. You can also benefit from it to consult the adverts of the downtown.
L’apéro - aperitive party
C’est le ciment du site, en quelque sorte le lien entre le monde virtuel et le monde réel. Organisée périodiquement par des membres, elle permet de réaliser concrètement les projets initiés sur le site.
It’s cement of the site, in some ways, the link between the virtual world and the real world. Organized periodically by members, it makes it possible concretely realize projects initiated on the site.
Les initiatives de quartier - district initiatives
Vous avez des idées pour votre quartier. C’est le moment de les tester avec vos nouveaux amis. Réalisation d’un court metrage, organisation d’un ramassage scolaire, d’une garderie, de voyages… Les idées et les projets ne manquent pas.
You have ideas for your district. It is the moment to test them with your new friends. Realization of a court metrage, organization of a school bus service, a nursery, journeys…Ideas and projects do not miss.
Conclusion - conclusion
Finalement, la partie la plus importante de ce site se situe “in situ” (si je puis dire). le site est surtout là pour initier et pour entretenir les liens entre les internautes. La part 2.0 est dans ce qu’on appelle le web social. L’idée, inspirée de sites américains comme Yelp, est d’adapter le concept du social web à une échelle plus humaine et de l’ancrer dans la réalité. Réconciliation du réel et du virtuel, la boucle est bouclée. Souhaitons que cette initiative prenne forme dans d’autres villes…
Finally, the greatest part of this site is “in situ” (as if to say). The site is especially there to initiate and to maintain links between the Net surfers. Part of 2.0 is in what is called the social Web. The idea, inspired of American sites like Yelp, is to adapt the concept of the social Web to a more human scale and to anchor it in reality. Reconciliation of reality and virtual, the loop is buckled. Let us wish that this initiative take form in other cities…